Nos oligarques n’ont que ce mot-là à la bouche : l’État de droit. Qui serait censé nous garantir de l’arbitraire du pouvoir et protéger nos libertés.

Quelle blague ! Quelle foutaise !

L’État de droit, c’est le cache-sexe du gouvernement des juges. Et, pour être plus précis, du gouvernement des juges politiquement corrects, car les autres rasent les murs par crainte du terrorisme intellectuel : celui des médias et celui du Syndicat de la magistrature. Minoritaire, certes, mais dominant.

Les résultats sont là !

La liberté d’expression est bafouée. Pierre Cassen, Renaud Camus, Éric Zemmour et tant d’autres sont condamnés pour délit d’opinion. Leur crime ? Avoir osé rappeler le réel.

La liberté constitutionnelle de manifestation n’est pas davantage protégée : samedi 25 novembre, une manifestation pacifique de Génération identitaire contre l’islamisation a été interdite. Au motif qu’il aurait pu y avoir des troubles à l’ordre public en raison d’une contre-manifestation d’extrême gauche autorisée à proximité immédiate…

Les libertés des communes sont aussi bafouées : le maire de Ploërmel se voit contester le droit d’ériger une croix au-dessus d’une statue du… pape Jean-Paul II. Et d’autres maires se voient imposer l’obligation de fournir de la viande halal (un mode d’abattage contraire à la réglementation française) dans les cantines scolaires. En revanche, il est interdit d’interdire le burkini !

En fait, les jurisprudences de la Cour de cassation et du Conseil d’État sont de plus en plus liberticides.

Elles sont aussi identicides.

Malgré les requêtes de Vigilance Halal, les magistrats administratifs refusent de vérifier que les règlements sur l’abattage des animaux de boucherie sont appliqués. Et ils expliquent que l’interdiction du burkini, vêture pourtant contraire aux mœurs françaises et européennes, n’est pas légale.

Les magistrats judiciaires et les magistrats administratifs conjuguent leurs efforts pour rendre impossible l’expulsion des étrangers clandestins. Le gouvernement a affirmé mensongèrement au Sénat qu’il y avait eu 6.166 retours forcés en 2016 (ce qui représenterait moins de 1 % des clandestins). Par rapport à la réalité, ce chiffre est majoré fictivement de 234 % car la Commission européenne qui cofinance les retours n’a reçu officiellement du gouvernement français que 2.665 demandes de remboursement. La probabilité, pour un clandestin en France, d’être expulsé est de moins de 2… sur 1.000. Nos magistrats sont devenus les exécutants serviles de la politique d’ouverture totale des frontières de la Ligue des droits de l’homme, du GISTI (Groupe d'information et de soutien des immigrés) et du Syndicat de la magistrature.

Il faut balayer la dictature judiciaire et rendre le pouvoir au peuple, à l’exemple de ce que font les gouvernements réellement démocratiques de Pologne et de Hongrie.

Le soleil se lève à l’Est.

3621 vues

26 novembre 2017 à 12:36

La possibilité d'ajouter de nouveaux commentaires a été désactivée.