Sous couvert d’objectifs écologiques, deux études ont fait du nucléaire français leur cible privilégiée.
Est-il pour autant possible de le décarboner en substituant au traditionnel kérosène des carburants verts ?
L’inaction climatique devient donc en France un paravent juridique justifiant de tout.
Restons donc pragmatiques et ne tombons pas dans le piège des grands moralistes de gauche.
Le Président aurait dû se rappeler que nous sommes, en termes d’émissions, le meilleur élève développé du monde.
Historique, ce tournant est surtout symbolique quant à la stratégie énergétique européenne.
La réduction des émissions de gaz à effet de serre ne justifie en rien de renoncer à notre liberté individuelle pour plonger dans un monde totalitaire risquant de faire bien plus de victimes que le réchauffement climatique
Le contribuable doit donc s’attendre à payer trois fois : payer pour la dette d’EDF, payer pour les investissements futurs, payer pour les choix irresponsables du green deal européen !
C’est le gaz qui viendra inexorablement suppléer au déficit d’anticipation politique.
En dehors de tout aspect politique, la France n’a de toutes les façons pas la capacité de sortir à court terme du système électrique européen.
En imposant une doctrine libérale à un secteur inadapté, en supportant l’arrivée des ENR dans le mix électrique et en encourageant l’arrivée d’une myriade de fournisseurs alternatifs, l’Union européenne planta le décor d’une tragédie annoncée !
En ajoutant des sources intermittentes, l’Europe a de facto créé un marché principalement gouverné par… Dame Nature.
Le citoyen européen pourrait, une fois encore, être le dindon de la farce de ce « poker menteur ».
Ni l’économie européenne ni les États-providence ne pourront résister longtemps à une telle inflation.
Dans un calcul bénéfice/risque, une question subsidiaire surgit : est-on certain que cette sobriété malheureuse ne fera pas, à terme, davantage de victimes que le réchauffement climatique ? Le débat est ouvert.
Le citoyen européen et français risque, une fois encore, d’être le dindon de la farce.
La COP27 aura été, sans surprise, un copier-coller des éditions précédentes avec les jets privés et les hôtels de luxe côtoyant les logements de fortune de militants extrémistes.
La déconfiture d’une filière nucléaire française d’excellence est méthodiquement organisée depuis vingt ans par des écologistes sans scrupules.
Agatha Christie et Ian Fleming doivent se retourner dans leurs tombes. Les multiples sabotages des deux gazoducs Nord Stream 1 et Nord Stream 2 auraient
Le développement des gaz de schiste en Europe aurait pu nous libérer totalement du carcan russe.
Bruxelles a reconnu l’« exception ibérique » et a autorisé l’Espagne et le Portugal à reprendre leur autonomie électrique en sortant temporairement du système tarifaire européen.
Les Français devront se serrer la ceinture pour que les Allemands, les Italiens ou autres Tchèques puissent éviter un hiver cataclysmique.
Beaucoup pensent pourtant que la visite du Président est principalement motivée par le gaz algérien, substitut possible au gaz russe aujourd’hui très courtisé. Est-ce vraiment raisonnable ?
Fidèles à leur image de pastèque, le but ultime des Verts est bien de mettre à bas la société de croissance et son démon capitaliste.
C’est un euphémisme : la France n’est pas dans une forme olympique.
Face à cette situation, chaque parti politique essaye d’exister au Parlement en proposant des solutions court terme diverses et variées. Aucune de ces solutions n’est destinée à résoudre l’équation actuelle sur le fond mais à colmater à grands frais une situation qui pourrait devenir explosive à la rentrée.
J’en prends le pari, basé sur un agenda inversé aussi stupide qu’irréaliste : le green deal européen se soldera par un échec total comparable à celui de l’Energiewende allemand.
Comme en mai 1968, ce discours émane de jeunes élites gâtées formées par un système qu’elles haïssent et non de classes populaires pour qui la fin du mois l’emporte sur la fin du monde.
Sous couvert d’objectifs écologiques, deux études ont fait du nucléaire français leur cible privilégiée.
Est-il pour autant possible de le décarboner en substituant au traditionnel kérosène des carburants verts ?
L’inaction climatique devient donc en France un paravent juridique justifiant de tout.
Restons donc pragmatiques et ne tombons pas dans le piège des grands moralistes de gauche.
Le Président aurait dû se rappeler que nous sommes, en termes d’émissions, le meilleur élève développé du monde.
Historique, ce tournant est surtout symbolique quant à la stratégie énergétique européenne.
La réduction des émissions de gaz à effet de serre ne justifie en rien de renoncer à notre liberté individuelle pour plonger dans un monde totalitaire risquant de faire bien plus de victimes que le réchauffement climatique
Le contribuable doit donc s’attendre à payer trois fois : payer pour la dette d’EDF, payer pour les investissements futurs, payer pour les choix irresponsables du green deal européen !
C’est le gaz qui viendra inexorablement suppléer au déficit d’anticipation politique.
En dehors de tout aspect politique, la France n’a de toutes les façons pas la capacité de sortir à court terme du système électrique européen.
En imposant une doctrine libérale à un secteur inadapté, en supportant l’arrivée des ENR dans le mix électrique et en encourageant l’arrivée d’une myriade de fournisseurs alternatifs, l’Union européenne planta le décor d’une tragédie annoncée !
En ajoutant des sources intermittentes, l’Europe a de facto créé un marché principalement gouverné par… Dame Nature.
Le citoyen européen pourrait, une fois encore, être le dindon de la farce de ce « poker menteur ».
Ni l’économie européenne ni les États-providence ne pourront résister longtemps à une telle inflation.
Dans un calcul bénéfice/risque, une question subsidiaire surgit : est-on certain que cette sobriété malheureuse ne fera pas, à terme, davantage de victimes que le réchauffement climatique ? Le débat est ouvert.
Le citoyen européen et français risque, une fois encore, d’être le dindon de la farce.
La COP27 aura été, sans surprise, un copier-coller des éditions précédentes avec les jets privés et les hôtels de luxe côtoyant les logements de fortune de militants extrémistes.
La déconfiture d’une filière nucléaire française d’excellence est méthodiquement organisée depuis vingt ans par des écologistes sans scrupules.
Agatha Christie et Ian Fleming doivent se retourner dans leurs tombes. Les multiples sabotages des deux gazoducs Nord Stream 1 et Nord Stream 2 auraient
Le développement des gaz de schiste en Europe aurait pu nous libérer totalement du carcan russe.
Bruxelles a reconnu l’« exception ibérique » et a autorisé l’Espagne et le Portugal à reprendre leur autonomie électrique en sortant temporairement du système tarifaire européen.
Les Français devront se serrer la ceinture pour que les Allemands, les Italiens ou autres Tchèques puissent éviter un hiver cataclysmique.
Beaucoup pensent pourtant que la visite du Président est principalement motivée par le gaz algérien, substitut possible au gaz russe aujourd’hui très courtisé. Est-ce vraiment raisonnable ?
Fidèles à leur image de pastèque, le but ultime des Verts est bien de mettre à bas la société de croissance et son démon capitaliste.
C’est un euphémisme : la France n’est pas dans une forme olympique.
Face à cette situation, chaque parti politique essaye d’exister au Parlement en proposant des solutions court terme diverses et variées. Aucune de ces solutions n’est destinée à résoudre l’équation actuelle sur le fond mais à colmater à grands frais une situation qui pourrait devenir explosive à la rentrée.
J’en prends le pari, basé sur un agenda inversé aussi stupide qu’irréaliste : le green deal européen se soldera par un échec total comparable à celui de l’Energiewende allemand.
Comme en mai 1968, ce discours émane de jeunes élites gâtées formées par un système qu’elles haïssent et non de classes populaires pour qui la fin du mois l’emporte sur la fin du monde.
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