Gabrielle Cluzel
Directrice de la rédaction de BV, éditorialiste
Dire qu’il fut un temps où l’on prétendait que la femme avait civilisé l’homme.
La première qui voit une fille défigurée à l’acide, traitée de p… par ses coreligionnaires chrétiens parce qu’elle ne porte pas de serre-tête prévient l’autre.
Allez hop, au pas de course. Quelle efficacité ! Quand on veut, on peut, n’est-ce pas ?
Le diocèse de Nanterre, qui vient de communiquer dans un tweet et s’apprête à porter plainte, rajoute que « le flambeau d’un fidèle a même été arraché et projeté sur les participants ».
Ceux qui enterraient LR se sont-ils fourré le doigt dans l’œil ?
Sous la barbe blanche et la mitre, agitant sa crosse dorée, semblait être caché… Jean Castex.
Le polytechnicien Olivier Bonnassies, créateur du site catholique Aleteia, revient pour Boulevard Voltaire sur son livre Dieu. La science. Les preuves, co-écrit avec Michel-Yves Bolloré.
Il est là, narquois, superbe, drôle, tellement sûr d’être irrésistible. Et fier, avec ça. Youpi ! il est sur la vidéo de Zemmour.
Il aurait sans doute fallu panthéoniser une personnalité ayant craché sur le pays. Quel dommage que, dans le cahier des charges, personne n’y ait pensé.
Le postulat de base est le suivant : la gentillesse commande d’accueillir tous les migrants. Mais la raison interdit de le faire. Et comme le gouvernement veut, bien sûr, être gentil et raisonnable, c’est inextricable.
Il n’est pas nécessaire d’adhérer à leur cause pour s’incliner devant ce qu’ils partagent : un concentré d’honneur et de sacrifice. Et c’est ce commun dans l’éclectisme voire l’opposition qui fait le charme singulier de cette lecture.
Boulevard Voltaire a eu l’honneur de rencontrer le cardinal Robert Sarah, préfet émérite de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements,
On se souvient qu’en février 2012, Claude Guéant avait suscité à peu près les mêmes cris d’orfraie dans le monde politique…
Ce mot iel, on l’a compris, est tout sauf neutre.
Car tout devrait être mené avec le pragmatisme aimant et prévoyant d’un bon père de famille et d’une bonne mère de famille. Y compris un État.
C’est nouveau, ça vient de sortir, ça s’appelle Franc-tireur. On y retrouve Caroline Fourest, Raphaël Enthoven, pour citer les plus célèbres, e,t bien sûr, Christophe Barbier, codirecteur de la rédaction.
Cette refonte se double d’une professionnalisation accrue, avec un renforcement de l’équipe de rédaction.
C’est comme un guignol spectacle permanent, chantait Michel Fugain.
Mais avouons qu’il y a un vrai paradoxe, et même un certain cynisme, en ce 11 novembre, à rendre hommage à ceux qui se sont battus pour défendre farouchement nos frontières et à brader celles-ci allègrement…
« Engagez-vous, rengagez-vous ! » claironnait, jadis, l’armée pour recruter. Vaccinez-vous ! Revaccinez-vous ! exhortait, mardi soir, à la télévision, le généralissime de cette nouvelle drôle de guerre.
Sur un plan purement économique et au-delà des OQTF, la France aurait tout intérêt, dans le même esprit que « l’exit tax », à ne pas laisser fuir cet argent vers d’autres cieux.
Si l’on décide de mettre dans le même sac l’assaillant et l’assiégé, n’aurait-on pas dû rendre compte de la violente agression de Coralie Dubost il y a quelques jours, par un sommaire « heurts entre passants à Paris » ?
Ou comment se payer à la fois la fois la tête des profs en danger et des contribuables français.
C’est quasiment en chef d’État que la présidente du RN a été reçue. Un déjeuner a réuni Marine Le Pen, Nicolas Bay, Viktor Orbán et le ministre de la Famille Katalin Novák, qui a fait ses études en France.
Celle-ci peut désormais en témoigner auprès du Garde des Sceaux : l’insécurité n’est pas un sentiment.
Comme Donald Trump ou Viktor Orbán, il prend sans fléchir sur son dos le paquetage conservateur. Mais il ne promet pas d’en faire son cheval de bataille.
Ces derniers jours, de la besace de repentir français qu’il arbore en bandoulière, il a tiré le 17 octobre 1961.
Le « Grand Remplacement » a bel et bien commencé. En France, comme en Allemagne, il progresse à grands pas chaque année…
Dire qu’il fut un temps où l’on prétendait que la femme avait civilisé l’homme.
La première qui voit une fille défigurée à l’acide, traitée de p… par ses coreligionnaires chrétiens parce qu’elle ne porte pas de serre-tête prévient l’autre.
Allez hop, au pas de course. Quelle efficacité ! Quand on veut, on peut, n’est-ce pas ?
Le diocèse de Nanterre, qui vient de communiquer dans un tweet et s’apprête à porter plainte, rajoute que « le flambeau d’un fidèle a même été arraché et projeté sur les participants ».
Ceux qui enterraient LR se sont-ils fourré le doigt dans l’œil ?
Sous la barbe blanche et la mitre, agitant sa crosse dorée, semblait être caché… Jean Castex.
Le polytechnicien Olivier Bonnassies, créateur du site catholique Aleteia, revient pour Boulevard Voltaire sur son livre Dieu. La science. Les preuves, co-écrit avec Michel-Yves Bolloré.
Il est là, narquois, superbe, drôle, tellement sûr d’être irrésistible. Et fier, avec ça. Youpi ! il est sur la vidéo de Zemmour.
Il aurait sans doute fallu panthéoniser une personnalité ayant craché sur le pays. Quel dommage que, dans le cahier des charges, personne n’y ait pensé.
Le postulat de base est le suivant : la gentillesse commande d’accueillir tous les migrants. Mais la raison interdit de le faire. Et comme le gouvernement veut, bien sûr, être gentil et raisonnable, c’est inextricable.
Il n’est pas nécessaire d’adhérer à leur cause pour s’incliner devant ce qu’ils partagent : un concentré d’honneur et de sacrifice. Et c’est ce commun dans l’éclectisme voire l’opposition qui fait le charme singulier de cette lecture.
Boulevard Voltaire a eu l’honneur de rencontrer le cardinal Robert Sarah, préfet émérite de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements,
On se souvient qu’en février 2012, Claude Guéant avait suscité à peu près les mêmes cris d’orfraie dans le monde politique…
Ce mot iel, on l’a compris, est tout sauf neutre.
Car tout devrait être mené avec le pragmatisme aimant et prévoyant d’un bon père de famille et d’une bonne mère de famille. Y compris un État.
C’est nouveau, ça vient de sortir, ça s’appelle Franc-tireur. On y retrouve Caroline Fourest, Raphaël Enthoven, pour citer les plus célèbres, e,t bien sûr, Christophe Barbier, codirecteur de la rédaction.
Cette refonte se double d’une professionnalisation accrue, avec un renforcement de l’équipe de rédaction.
C’est comme un guignol spectacle permanent, chantait Michel Fugain.
Mais avouons qu’il y a un vrai paradoxe, et même un certain cynisme, en ce 11 novembre, à rendre hommage à ceux qui se sont battus pour défendre farouchement nos frontières et à brader celles-ci allègrement…
« Engagez-vous, rengagez-vous ! » claironnait, jadis, l’armée pour recruter. Vaccinez-vous ! Revaccinez-vous ! exhortait, mardi soir, à la télévision, le généralissime de cette nouvelle drôle de guerre.
Sur un plan purement économique et au-delà des OQTF, la France aurait tout intérêt, dans le même esprit que « l’exit tax », à ne pas laisser fuir cet argent vers d’autres cieux.
Si l’on décide de mettre dans le même sac l’assaillant et l’assiégé, n’aurait-on pas dû rendre compte de la violente agression de Coralie Dubost il y a quelques jours, par un sommaire « heurts entre passants à Paris » ?
Ou comment se payer à la fois la fois la tête des profs en danger et des contribuables français.
C’est quasiment en chef d’État que la présidente du RN a été reçue. Un déjeuner a réuni Marine Le Pen, Nicolas Bay, Viktor Orbán et le ministre de la Famille Katalin Novák, qui a fait ses études en France.
Celle-ci peut désormais en témoigner auprès du Garde des Sceaux : l’insécurité n’est pas un sentiment.
Comme Donald Trump ou Viktor Orbán, il prend sans fléchir sur son dos le paquetage conservateur. Mais il ne promet pas d’en faire son cheval de bataille.
Ces derniers jours, de la besace de repentir français qu’il arbore en bandoulière, il a tiré le 17 octobre 1961.
Le « Grand Remplacement » a bel et bien commencé. En France, comme en Allemagne, il progresse à grands pas chaque année…
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