Victoire pour Trump : une nageuse trans se voit retirer ses médailles !

L’université de Pennsylvanie a décidé de retirer les titres et records de Lia Thomas, « nageuse » transgenre. Une avancée majeure pour l’équité dans les compétitions féminines. Sous la pression de l’administration Trump, cette mesure répond à une injustice criante : les athlètes féminines, contraintes de concourir contre une personne née homme, ont été désavantagées. L’université a rétabli les titres aux compétitrices lésées et envoyé des lettres d’excuses.
Une question d’équité biologique
L’affaire Lia Thomas, première athlète transgenre à remporter un championnat national des grandes écoles américaines en 2022, a ravivé le débat sur l’équité dans le sport. Contacté par BV, un professeur en science politique à l’université Pepperdine, en Californie, estime que « c’est une bonne nouvelle pour les athlètes féminines et cette mesure devrait être élargie et systématisée ». Ne voulant pas remettre en cause « le parcours de transition de Lia Thomas », il juge toutefois que des abus ont été avérés dans son cas. « Pour des raisons biologiques, on ne peut pas accepter que des hommes devenus femmes concourent aux côtés des femmes. C’est profondément injuste, antiféministe et, surtout, cela nie leurs différences chromosomiques fondamentales », plaide-t-il, avant d'ajouter : « Je n’apprends rien à personne si je dis qu’un homme est naturellement plus fort qu’une femme. »
Cette réalité, souvent ignorée au profit de considérations idéologiques, a conduit l’administration Trump à renforcer l’application du Titre IX par un décret exécutif en février 2025. Ce texte interdit aux athlètes transgenres de participer aux compétitions féminines dans les établissements recevant des fonds fédéraux, garantissant ainsi une concurrence équitable pour tous les athlètes. « L'accord de résolution conclu aujourd'hui avec l'UPenn est un nouvel exemple de l'effet Trump à l'œuvre. Grâce au leadership du président Trump, l'UPenn a accepté de présenter des excuses pour ses violations passées du Titre IX et de garantir la protection du sport féminin à l'université pour les futures générations d'athlètes féminines », a déclaré la secrétaire à l'Éducation Linda McMahon, dans un communiqué.
Un précédent pour l’avenir ?
Des cas similaires à celui de Lia Thomas, ceux de la coureuse Cece Telfer ou de l’haltérophile Laurel Hubbard, ont suscité des controverses mondiales, soulignant l’urgence de protéger les catégories féminines pour préserver l’intégrité du sport. La décision concernant Lia Thomas établit un précédent clair : les compétitions doivent respecter les différences biologiques pour éviter des injustices. Elle répond également aux plaintes de nombreuses athlètes féminines qui, face à la domination d’adversaires transgenres, ont vu leurs chances de victoire et leurs années d’entraînement réduites à néant.
L’accord entre l’université de Pennsylvanie et l’administration Trump ouvre la voie à d’autres instances sportives. En priorisant l’équité, il pourrait encourager des fédérations internationales à revoir leurs règlements, souvent critiqués pour leur laxisme. Par exemple, des organisations comme la World Athletics ont déjà commencé à durcir leurs critères, mais des efforts supplémentaires sont nécessaires pour uniformiser les règles à l’échelle mondiale. Plus près de l’Hexagone, l’athlète algérienne Imane Khelif avait suscité l’indignation, lors des Jeux olympiques de Paris. Pour expliquer son apparence masculine, la boxeuse évoquait une maladie chromosomique. Afin d'éviter toute polémique, la World Boxing a imposé un test chromosomique à l’ensemble des participants. Le verdict est tombé : Imane Khelif présente un caryotype masculin et ne pourra plus concourir dans la catégorie féminine. La folie transgenre... prend des coups.

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63 commentaires
L’élection de Donald Trump va faire un bien fou au monde entier !
Il ne s’agit pas d’ ‘une nageuse’, mais d’un nageur qui s’imagine être femme – ce qui est son droit, à condition de ne pas exiger du public qu’il sanctionne l’illusion. Entre parenthèses, si les acquis de 50 ans de Women’s lib consistent pour mesdames à se faire tabasser par messieurs dans les arènes sportives, ça ne valait vraiment pas le coup de tout chambarder!
Il a raison cette fois: laissez parler les chromosomes et faites taire (ou n’écoutez pas) les lobbys !
A TRANSPOSER d’urgence en France ( si ce n’est déjà fait) ?