Soldats morts au Mali
Ces onze gamins sont morts pour vous. C’est devant leur mémoire que vous devriez plier le genou.
C’est dans l’église Sainte-Catherine de Villeneuve-sur-Lot, où nous l’avons vu pour la première fois, il y a 15 ans, que la cérémonie avait lieu…
Ils étaient des centaines, ce lundi matin, sur le pont Alexandre-III à Paris, pour saluer le convoi funèbre des treize militaires tués, la semaine dernière,
Ils étaient forts, courageux, admirables, aimant la France et son drapeau. Bleu, blanc, rouge. Ils auraient pu être mes enfants.
Nul doute que, désormais, même les Lot-et-Garonnais les plus indifférents à ces choses les regarderont avec la reconnaissance qu’ils méritent.
Alors, que faire ? Partir brutalement n’aurait aucun sens après tous ces sacrifices. Ce serait, à l’évidence, faire le jeu des islamistes.
Il faudrait retrouver le sens de la grandeur. Nos soldats ne seraient, alors, pas morts pour rien.
Aurions-nous imaginé, en 1914, qu’une diaspora française, jeune et nombreuse, reste oisive au-delà des mers tandis que le pays était en guerre ?
À son épouse, à ses parents, à ses frères et sœurs, nous adressons nos sincères condoléances.
Treize morts qui obligent le chef des armées, la France, les Français. Et les pays d’Afrique que nous soutenons…
Ces onze gamins sont morts pour vous. C’est devant leur mémoire que vous devriez plier le genou.
C’est dans l’église Sainte-Catherine de Villeneuve-sur-Lot, où nous l’avons vu pour la première fois, il y a 15 ans, que la cérémonie avait lieu…
Ils étaient des centaines, ce lundi matin, sur le pont Alexandre-III à Paris, pour saluer le convoi funèbre des treize militaires tués, la semaine dernière,
Ils étaient forts, courageux, admirables, aimant la France et son drapeau. Bleu, blanc, rouge. Ils auraient pu être mes enfants.
Nul doute que, désormais, même les Lot-et-Garonnais les plus indifférents à ces choses les regarderont avec la reconnaissance qu’ils méritent.
Alors, que faire ? Partir brutalement n’aurait aucun sens après tous ces sacrifices. Ce serait, à l’évidence, faire le jeu des islamistes.
Il faudrait retrouver le sens de la grandeur. Nos soldats ne seraient, alors, pas morts pour rien.
Aurions-nous imaginé, en 1914, qu’une diaspora française, jeune et nombreuse, reste oisive au-delà des mers tandis que le pays était en guerre ?
À son épouse, à ses parents, à ses frères et sœurs, nous adressons nos sincères condoléances.
Treize morts qui obligent le chef des armées, la France, les Français. Et les pays d’Afrique que nous soutenons…