Joe Biden
Comme disait Audiard : « Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, les types de 60 kilos les écoutent »…
Le déclin cognitif du président américain n’est en rien nouveau et sans surprise, il ne s’est pas amélioré avec le temps
Les spéculations sur l’état de sa santé mentale sont relancées.
Il s’agit d’une crise démographique, sécuritaire, humanitaire, législative, électorale et même constitutionnelle.
Qu’il le veuille ou non, Joe Biden est déjà engagé dans une guerre régionale qui n’a pas débuté le 7 octobre.
Tout l’enjeu pour Joe Biden est désormais d’éviter un effondrement du front pendant la campagne présidentielle.
Aux États-Unis, les crises ne se contentent pas de s’accumuler, elles interagissent entre elles.
Avec Trump, les logiques habituelles ne fonctionnent pas. Il fait exploser les cadres et les repères.
Les républicains étant minoritaires au Sénat et divisés sur le lancement de l’enquête, elle a peu de chances d’aboutir.
Lors de sa conférence de presse au Vietnam, le président américain a soudainement basculé dans une réalité parallèle.
Un scénario qui s’expliquerait par le sentiment qu’aucune des deux parties n’acceptera de reconnaître sa défaite
Le Point s’est saisi de la question des reniements des grands de ce monde
Les naïfs s’étonneront que les démocrates choisissent un homme de 80 ans qui multiplie les gaffes.
C’est officiel : à 80 ans, Joe Biden annonce sa candidature pour la présidentielle du 5 novembre 2024.
L’enjeu déchire l’Amérique : le joli mur de Biden ou l’affreux rempart de Donald Trump ?
Quel que soit le récit auquel nous adhérons – monde multipolaire contre monde unipolaire ou lutte des démocraties contre les autocraties -, un constat cruel s’impose : c’est à Moscou et à Washington que se décide l’avenir de l’Europe.
Joe Biden est au moins fort d’une équipe connaissant son métier. D’où ce changement de braquet le poussant à parler aux délaissés du rêve américain ; ceux qui firent la victoire de Ronald Reagan en 1980 et celle de l’inclassable Donald Trump en 2016.
Le combat des républicains américains est aussi le nôtre.
Comme souvent en la matière, le premier à monter au front est Liliam Thuram, l’un de nos champions tricolores, millésime 1998…
Le citoyen européen pourrait, une fois encore, être le dindon de la farce de ce « poker menteur ».
Ce voyage, c’est peut-être l’occasion de prendre de bonnes idées chez le grand ami Biden.
Joe Biden, qui aura 80 ans durant ce mois de novembre, accumule les gaffes depuis le début de sa prise de fonction à la Maison-Blanche.
Quoi qu’il en soit, si les démocrates devaient perdre la majorité à la Chambre des représentants et au Sénat, Joe Biden ne bénéficierait pas d’un 49-3 à l’américaine et ne pourrait plus faire ce qu’il veut…
Si la situation internationale n’était pas si inquiétante, on dirait que cet homme a malgré tout le don de remettre un peu de poésie dans la vie de tous les jours.
La candidate républicaine Liz Cheney, fille de l’ancien vice-président Dick Cheney, a perdu la primaire face à son adversaire ouvertement pro-Trump.
Une demande déjà formulée l’été précédent, les élus évoquant un « déclin mental » corroboré par une série d’oublis et de bourdes.
Joe Biden incarne jusqu’à la caricature le moralisme progressiste occidental qui s’arroge le droit de donner des leçons au monde entier sans jamais balayer devant sa porte.
Très critiquée aux États-Unis, la rencontre entre Joe Biden et Mohammed ben Salmane n’a donc débouché sur rien.
Comme disait Audiard : « Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, les types de 60 kilos les écoutent »…
Le déclin cognitif du président américain n’est en rien nouveau et sans surprise, il ne s’est pas amélioré avec le temps
Les spéculations sur l’état de sa santé mentale sont relancées.
Il s’agit d’une crise démographique, sécuritaire, humanitaire, législative, électorale et même constitutionnelle.
Qu’il le veuille ou non, Joe Biden est déjà engagé dans une guerre régionale qui n’a pas débuté le 7 octobre.
Tout l’enjeu pour Joe Biden est désormais d’éviter un effondrement du front pendant la campagne présidentielle.
Aux États-Unis, les crises ne se contentent pas de s’accumuler, elles interagissent entre elles.
Avec Trump, les logiques habituelles ne fonctionnent pas. Il fait exploser les cadres et les repères.
Les républicains étant minoritaires au Sénat et divisés sur le lancement de l’enquête, elle a peu de chances d’aboutir.
Lors de sa conférence de presse au Vietnam, le président américain a soudainement basculé dans une réalité parallèle.
Un scénario qui s’expliquerait par le sentiment qu’aucune des deux parties n’acceptera de reconnaître sa défaite
Le Point s’est saisi de la question des reniements des grands de ce monde
Les naïfs s’étonneront que les démocrates choisissent un homme de 80 ans qui multiplie les gaffes.
C’est officiel : à 80 ans, Joe Biden annonce sa candidature pour la présidentielle du 5 novembre 2024.
L’enjeu déchire l’Amérique : le joli mur de Biden ou l’affreux rempart de Donald Trump ?
Quel que soit le récit auquel nous adhérons – monde multipolaire contre monde unipolaire ou lutte des démocraties contre les autocraties -, un constat cruel s’impose : c’est à Moscou et à Washington que se décide l’avenir de l’Europe.
Joe Biden est au moins fort d’une équipe connaissant son métier. D’où ce changement de braquet le poussant à parler aux délaissés du rêve américain ; ceux qui firent la victoire de Ronald Reagan en 1980 et celle de l’inclassable Donald Trump en 2016.
Le combat des républicains américains est aussi le nôtre.
Comme souvent en la matière, le premier à monter au front est Liliam Thuram, l’un de nos champions tricolores, millésime 1998…
Le citoyen européen pourrait, une fois encore, être le dindon de la farce de ce « poker menteur ».
Ce voyage, c’est peut-être l’occasion de prendre de bonnes idées chez le grand ami Biden.
Joe Biden, qui aura 80 ans durant ce mois de novembre, accumule les gaffes depuis le début de sa prise de fonction à la Maison-Blanche.
Quoi qu’il en soit, si les démocrates devaient perdre la majorité à la Chambre des représentants et au Sénat, Joe Biden ne bénéficierait pas d’un 49-3 à l’américaine et ne pourrait plus faire ce qu’il veut…
Si la situation internationale n’était pas si inquiétante, on dirait que cet homme a malgré tout le don de remettre un peu de poésie dans la vie de tous les jours.
La candidate républicaine Liz Cheney, fille de l’ancien vice-président Dick Cheney, a perdu la primaire face à son adversaire ouvertement pro-Trump.
Une demande déjà formulée l’été précédent, les élus évoquant un « déclin mental » corroboré par une série d’oublis et de bourdes.
Joe Biden incarne jusqu’à la caricature le moralisme progressiste occidental qui s’arroge le droit de donner des leçons au monde entier sans jamais balayer devant sa porte.
Très critiquée aux États-Unis, la rencontre entre Joe Biden et Mohammed ben Salmane n’a donc débouché sur rien.