économie
Alors que l’Assemblée débat du budget 2025, la question est posée chez les élus. Mais qu’en pensent les Français ?
Opella, qui produit le Doliprane, a généré 5,2 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2023.
l’Argentine et le Salvador peuvent eux, se féliciter de résultats tangibles.
Le bilan de Macron se marque essentiellement par une atonie, déprimante pour les entreprises comme les particuliers.
Avec beaucoup de sens didactique, et même de patience, Alexis Rostand dédiabolise la finance, explique que la pratique des vertus peut la faire avancer dans le bon sens…
La première séance devrait avoir lieu dans un lieu parisien discret dès ce 17 octobre. « Il faut que les élus sachent les conséquences de ce qu’ils votent sur les entreprises », explique à Boulevard Voltaire Sophie de Menthon.
Quand la Banque de France elle-même vient tirer le bilan de l’état macronien, difficile de parler de diatribe à charge. Et pourtant… L’institution n’agite pas vraiment les palmes d’un franc succès.
Le désamour pour la science économique est partagé par l’ensemble du pays. Les questions sont complexes et exigent un effort de réflexion que les gens ne veulent pas fournir, ni les élites politiques, ni les citoyens.
Nous qui sommes si taxés, comment peut-on accepter d’avoir de si mauvais résultats pour l’éducation, la santé, la lutte contre la pauvreté, l’insécurité… ?
Bilan du Président élu pour regonfler l’économie française : 44 % des Français considèrent que leur situation économique personnelle s’est détériorée sous son mandat.
La candidate du RN est la seule à oser regarder la réalité en face : les Français sont asphyxiés par une pression fiscale devenue folle que les chèques clientélistes de fin de quinquennat ne compenseront en rien. Il faut redonner de l’air aux Français et aux entreprises…
Bref, le budget sent un peu la manœuvre de nuit et l’enfumage général. Du Macron grand cru.
Les grands groupes tels que Total, Peugeot, Renault, Airbus, Siemens, suite aux menaces de représailles sur le marché intérieur américain, ont déjà tous renoncé.
Baisse de croissance structurelle (toujours elle), faiblesse de notre commerce extérieur (encore lui), guère de compétitivité (comme toujours)…
En termes de croissance, la France, avec 0,4 %, est bonne dernière dans l’Union européenne.
En fait, 50 millions d’Américains vivent dans la pauvreté.
Jusque-là, M. Macron n’a pris que des mesurettes pour libérer les énergies et combler le retard de notre pays. Il lui reste encore quatre ans, mais l’horloge tourne…
Le pire heureusement n’est jamais sûr et qui sait ?
Derrière cette révolution silencieuse, se profile un changement fondamental de notre modèle économique.
La monnaie n’est ni de droite ni de gauche. Elle devrait être un bien commun au service de l’intérêt général.
Le krach viendra et les créations monétaires par les banques centrales pour sauver les meubles entraîneront une hyperinflation à l’échelle du globe comparable à celle de l’Allemagne en 1923…
Le Droit est la traduction pratique d’options morales dont l’origine est l’expérience accumulée par l’espèce humaine.
Alors que l’Assemblée débat du budget 2025, la question est posée chez les élus. Mais qu’en pensent les Français ?
Opella, qui produit le Doliprane, a généré 5,2 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2023.
l’Argentine et le Salvador peuvent eux, se féliciter de résultats tangibles.
Le bilan de Macron se marque essentiellement par une atonie, déprimante pour les entreprises comme les particuliers.
Avec beaucoup de sens didactique, et même de patience, Alexis Rostand dédiabolise la finance, explique que la pratique des vertus peut la faire avancer dans le bon sens…
La première séance devrait avoir lieu dans un lieu parisien discret dès ce 17 octobre. « Il faut que les élus sachent les conséquences de ce qu’ils votent sur les entreprises », explique à Boulevard Voltaire Sophie de Menthon.
Quand la Banque de France elle-même vient tirer le bilan de l’état macronien, difficile de parler de diatribe à charge. Et pourtant… L’institution n’agite pas vraiment les palmes d’un franc succès.
Le désamour pour la science économique est partagé par l’ensemble du pays. Les questions sont complexes et exigent un effort de réflexion que les gens ne veulent pas fournir, ni les élites politiques, ni les citoyens.
Nous qui sommes si taxés, comment peut-on accepter d’avoir de si mauvais résultats pour l’éducation, la santé, la lutte contre la pauvreté, l’insécurité… ?
Bilan du Président élu pour regonfler l’économie française : 44 % des Français considèrent que leur situation économique personnelle s’est détériorée sous son mandat.
La candidate du RN est la seule à oser regarder la réalité en face : les Français sont asphyxiés par une pression fiscale devenue folle que les chèques clientélistes de fin de quinquennat ne compenseront en rien. Il faut redonner de l’air aux Français et aux entreprises…
Bref, le budget sent un peu la manœuvre de nuit et l’enfumage général. Du Macron grand cru.
Les grands groupes tels que Total, Peugeot, Renault, Airbus, Siemens, suite aux menaces de représailles sur le marché intérieur américain, ont déjà tous renoncé.
Baisse de croissance structurelle (toujours elle), faiblesse de notre commerce extérieur (encore lui), guère de compétitivité (comme toujours)…
En termes de croissance, la France, avec 0,4 %, est bonne dernière dans l’Union européenne.
En fait, 50 millions d’Américains vivent dans la pauvreté.
Jusque-là, M. Macron n’a pris que des mesurettes pour libérer les énergies et combler le retard de notre pays. Il lui reste encore quatre ans, mais l’horloge tourne…
Le pire heureusement n’est jamais sûr et qui sait ?
Derrière cette révolution silencieuse, se profile un changement fondamental de notre modèle économique.
La monnaie n’est ni de droite ni de gauche. Elle devrait être un bien commun au service de l’intérêt général.
Le krach viendra et les créations monétaires par les banques centrales pour sauver les meubles entraîneront une hyperinflation à l’échelle du globe comparable à celle de l’Allemagne en 1923…
Le Droit est la traduction pratique d’options morales dont l’origine est l’expérience accumulée par l’espèce humaine.