
Donner son sang, dans cette ville d'Écosse, requiert une particularité physique hors du commun. À son arrivée dans le centre de prélèvement, le docteur Mc Andrew se heurte à une infirmière qui lui demande s'il est enceinte. Damned! Il n'a pas vérifié. Plaisanterie ? Is it a joke? Non. La dame est sérieuse.
Devant la stupidité de la question, le donneur refuse de répondre. Dévoiler son intimité à une inconnue ? Quelle indiscrétion ! Oui, il est enceinte, mais de quelques heures. Une rencontre avec une pinte de Guinness. Une aventure sans lendemain... L'échographie est formelle. Que dire, face à cette soumission à la bêtise ambiante ? À la suite de cette fin de non-recevoir, l'employée laisse repartir l'homme venu offrir sa contribution à la solidarité médicale. La dinguerie woke l'a emporté sur la santé des personnes en souffrance. En ce coin d'Écosse, l'idéologie du genre a gagné. Le citoyen se voit contraint de poser des questions relevant de la pathologie psychiatrique. Accepter de répondre ? D'accord, mais à condition que l'infirmière ait un entonnoir sur la tête. Clause non négociable. Partant de là, le donneur de sang peut passer un bon moment. Raconter qu'il est enceinte d'un bébé phoque ou toute autre galéjade. À ce niveau de folie, toute discussion est inutile. Sous le coup de la bien-pensance en vigueur, la préposée est passée en mode hallucinatoire. Dans les cas de wokisme aigu, le conseil de l'Ordre local recommande de pas trop contrarier le sujet. Aller dans son sens, revendiquer une grossesse nerveuse ou l'attente d'un quatrième bébé participera à maintenir le malade dans un état de calme relatif.
À la suite de cet incident, le service de transfusion sanguine s'est fendu d'une déclaration. Il consent à revoir la formulation mais prévoit toujours de demander aux donneurs masculins s'ils sont enceints. Le fou persiste. En général. À la question moins abrupte « Attendez-vous un heureux événement ? », le visage du bûcheron viril avouera qu'il attend que l'infirmière revienne sur Terre. Qu'elle reprenne ses esprit et sorte de ce cauchemar grotesque. Le seul heureux événement espéré est celui-là.
La folie existentielle arrive au moment où les questions ne sont plus sur l’Avenir mais sur le délire des psy qui, se sachant malade, essaient d’en faire la norme. Ainsi arrive la décadence, Rome puis Byzance.
Bientôt en France ?
Et c’est cette « société » là que l’on va laisser à nos enfants et nos petits enfants ? Comme Woody Allen l’à si bien dit : « Si dieu existe , j’espère qu’il a une bonne excuse » . Et la citation de Jules Renard : » Dieu a pas mal réussi la nature , MAIS il a raté l’homme » .
La connerie de ces imbéciles crétins est sans limite
Une femme enceinte ne peut donner son sang. Cette infirmière, si elle est étrangère, ne connaît peut-être pas l’uniforme traditionnel de l’homme en Ecosse d’où la méprise.
Je crois bien que nous sommes entrés dans une spirale de folie où le bon sens a totalement disparu au bénéfice d’idéaux « foldingues » qui nous entraînent inexorablement vers un précipice insondable de connerie…
Je ne l’aurais pas mieux dit !
Il est grand temps de purger l’Ecosse, le pays de ma grand-mère, de tous ses envahisseurs, en particulier Anglais et Pakistanais ! Et de ne réserver le port du kilt qu’aux membres authentifiés d’un clan !