Union Européenne
L’accord avec le Kenya va finir d’achever un secteur qui se porte bien mais ne peut plus suivre face à la concurrence.
Il y a belle lurette que l’Union européenne n’est plus qu’un « canton » du mondialisme.
Il est encore temps d’ouvrir les yeux et de réorienter en profondeur l’UE.
Tout le monde se fout éperdument du fabuleux destin de Charles Michel.
Pendant ce temps, la France d’en bas, juchée sur ses tracteurs, manifeste.
Plongée dans la machine de guerre culturelle islamique du Qatar.
Sans doute parce qu’il ne peut se représenter au terme de son second mandat et qu’il faut bien penser à l’avenir…
Jacques Delors fut un acteur zélé de la construction d’un État impérial européen sur les ruines de notre liberté…
Winston Churchill jugeait la demi-bouteille insuffisante pour une personne au dîner.
Plus de 30.000 places doivent être créées permettant d’accueillir jusqu’à 120.000 migrants par an.
Il y a urgence à reprendre le contrôle de l’Union européenne. Les élections européennes en sont l’occasion.
On rêve qu’un président français, un jour, en fasse autant !
Le but est clair : imposer un État européen unique à la place des nations européennes.
Voilà le catéchisme de cette dame convertie au wokisme outrancier.
La précipitation des euro-frénétiques n’est que le signe de la panique qui les étreint devant le réveil des peuples.
Certains députés ne souhaitent qu’une chose : jeter aux orties la souveraineté nationale. Et les LR… s’abstiennent !
Signe que l’UE avance ses pions, la résolution évoque l’idée d’un « président de l’Union européenne ».
Les sociétés et les gouvernements vont-ils nous connaître mieux que nous-mêmes ?
Emmanuel Macron se rend-il compte que ses propos ne sont connectés à rien de réel ?
Il faut du courage pour affronter le « camp du bien » et ses « matons de Panurge », comme les appelait Muray.
L’enjeu majeur des élections européennes du 9 juin 2024 n’est autre que la question migratoire.
Ce texte bouleverserait les droits reconnus.
La Commission n’a pas dit non, mais ce n’est pas un oui immédiat.
Emmanuel Macron a déclaré qu’il ne voulait pas être « dans le commentaire », mais en fait, il l’est.
Mais l’Inde, qui est une nation tout aussi libre, ne serait-elle pas la plus grande démocratie au monde ?
Les fameux « budgets genrés » sont d’ailleurs déjà mis en place par certaines municipalités de gauche.
L’accord avec le Kenya va finir d’achever un secteur qui se porte bien mais ne peut plus suivre face à la concurrence.
Il y a belle lurette que l’Union européenne n’est plus qu’un « canton » du mondialisme.
Il est encore temps d’ouvrir les yeux et de réorienter en profondeur l’UE.
Tout le monde se fout éperdument du fabuleux destin de Charles Michel.
Pendant ce temps, la France d’en bas, juchée sur ses tracteurs, manifeste.
Plongée dans la machine de guerre culturelle islamique du Qatar.
Sans doute parce qu’il ne peut se représenter au terme de son second mandat et qu’il faut bien penser à l’avenir…
Jacques Delors fut un acteur zélé de la construction d’un État impérial européen sur les ruines de notre liberté…
Winston Churchill jugeait la demi-bouteille insuffisante pour une personne au dîner.
Plus de 30.000 places doivent être créées permettant d’accueillir jusqu’à 120.000 migrants par an.
Il y a urgence à reprendre le contrôle de l’Union européenne. Les élections européennes en sont l’occasion.
On rêve qu’un président français, un jour, en fasse autant !
Le but est clair : imposer un État européen unique à la place des nations européennes.
Voilà le catéchisme de cette dame convertie au wokisme outrancier.
La précipitation des euro-frénétiques n’est que le signe de la panique qui les étreint devant le réveil des peuples.
Certains députés ne souhaitent qu’une chose : jeter aux orties la souveraineté nationale. Et les LR… s’abstiennent !
Signe que l’UE avance ses pions, la résolution évoque l’idée d’un « président de l’Union européenne ».
Les sociétés et les gouvernements vont-ils nous connaître mieux que nous-mêmes ?
Emmanuel Macron se rend-il compte que ses propos ne sont connectés à rien de réel ?
Il faut du courage pour affronter le « camp du bien » et ses « matons de Panurge », comme les appelait Muray.
L’enjeu majeur des élections européennes du 9 juin 2024 n’est autre que la question migratoire.
Ce texte bouleverserait les droits reconnus.
La Commission n’a pas dit non, mais ce n’est pas un oui immédiat.
Emmanuel Macron a déclaré qu’il ne voulait pas être « dans le commentaire », mais en fait, il l’est.
Mais l’Inde, qui est une nation tout aussi libre, ne serait-elle pas la plus grande démocratie au monde ?
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