Economie
Jusque-là, M. Macron n’a pris que des mesurettes pour libérer les énergies et combler le retard de notre pays. Il lui reste encore quatre ans, mais l’horloge tourne…

Si l’alignement des planètes a été la chance de François Hollande, un dangereux désalignement est en train de s’installer pour l’an II de Macron.
Emmanuel Macron vient de déclarer que les aides sociales coûtent « un pognon de dingue ». Jean-Baptiste Leon réagit au micro de Boulevard Voltaire aux propos du

Le compte à rebours est entamé : dans un mois ou dans un an, la bulle éclatera, dévastant le monde après avoir enrichi les spéculateurs.

L’erreur fondamentale est de vouloir supprimer la taxe d’habitation.

Comme chaque idée irénique pensée par l’Union, l’échec est patent.

Ça y est, c’est officiel ou presque : sous la pression américaine, Total et PSA se retirent du marché iranien.
L’effet Macron est déjà fini et nous sommes retombés dans notre ornière habituelle.
Le pire heureusement n’est jamais sûr et qui sait ?

Beaucoup à droite se targuent aujourd’hui de se dire « conservateurs » : eh bien ! Qu’ils le soient jusqu’au bout…

Les dernières sanctions de Trump contre l’Iran pourraient être la goutte d’eau qui fait déborder le vase, avec un effet de boomerang mortel pour la suprématie du dollar.
L’affreuse vérité, c’est qu’à part les Pays-Bas, l’Europe du Nord et l’Allemagne, toute l’Europe dont la France est en faillite.

Derrière cette révolution silencieuse, se profile un changement fondamental de notre modèle économique.
La croissance camoufle ces mauvais résultats.

il aurait été sans doute plus judicieux d’alléger (voire de supprimer ) un autre impôt : les frais de notaire.
M. Macron a été, jusque-là, un homme chanceux. Or, notre moteur économique se grippe quelque peu.

La monnaie n’est ni de droite ni de gauche. Elle devrait être un bien commun au service de l’intérêt général.
Au fond, il n’y a qu’en Europe qu’on se laisse manger la soupe sur la tête.
Emmanuel Macron a déclaré au magazine Forbes vouloir supprimer l’« exit tax », qui avait été mise en place par Nicolas Sarkozy. En quoi consiste
Erdoğan pressent le rôle à jouer de l’or qui, inéluctablement, remplacera un jour le dollar en tant que seule valeur crédible reconnue.

Si les taux augmentent ou s’il y a le moindre krach, l’État français, et pas seulement l’Italie, sera en faillite pure et simple.
Les créances douteuses du système bancaire sont très élevées, de l’ordre de 13 %.

Celui qui acceptera cette réorientation de son épargne perdra une partie considérable de sa mise.

Les produits dérivés des banques dans le monde atteignent le montant faramineux de 1.500.000 milliards de dollars !
Nous ne sommes pas sortis des difficultés, loin de là. Le déficit cessera d’être dangereux en dessous de 1 %. Le gouvernement pense y arriver en 2021.
Il ne faut pas désespérer de la parole politique, elle peut, parfois, être vraie.
La faible natalité d’aujourd’hui aura forcément des conséquences dans les secteurs économiques liés à une classe d’âge.
C’est l’impôt qui sauve le budget, et non la politique de réformes.
Jusque-là, M. Macron n’a pris que des mesurettes pour libérer les énergies et combler le retard de notre pays. Il lui reste encore quatre ans, mais l’horloge tourne…

Si l’alignement des planètes a été la chance de François Hollande, un dangereux désalignement est en train de s’installer pour l’an II de Macron.
Emmanuel Macron vient de déclarer que les aides sociales coûtent « un pognon de dingue ». Jean-Baptiste Leon réagit au micro de Boulevard Voltaire aux propos du

Le compte à rebours est entamé : dans un mois ou dans un an, la bulle éclatera, dévastant le monde après avoir enrichi les spéculateurs.

L’erreur fondamentale est de vouloir supprimer la taxe d’habitation.

Comme chaque idée irénique pensée par l’Union, l’échec est patent.

Ça y est, c’est officiel ou presque : sous la pression américaine, Total et PSA se retirent du marché iranien.
L’effet Macron est déjà fini et nous sommes retombés dans notre ornière habituelle.
Le pire heureusement n’est jamais sûr et qui sait ?

Beaucoup à droite se targuent aujourd’hui de se dire « conservateurs » : eh bien ! Qu’ils le soient jusqu’au bout…

Les dernières sanctions de Trump contre l’Iran pourraient être la goutte d’eau qui fait déborder le vase, avec un effet de boomerang mortel pour la suprématie du dollar.
L’affreuse vérité, c’est qu’à part les Pays-Bas, l’Europe du Nord et l’Allemagne, toute l’Europe dont la France est en faillite.

Derrière cette révolution silencieuse, se profile un changement fondamental de notre modèle économique.
La croissance camoufle ces mauvais résultats.

il aurait été sans doute plus judicieux d’alléger (voire de supprimer ) un autre impôt : les frais de notaire.
M. Macron a été, jusque-là, un homme chanceux. Or, notre moteur économique se grippe quelque peu.

La monnaie n’est ni de droite ni de gauche. Elle devrait être un bien commun au service de l’intérêt général.
Au fond, il n’y a qu’en Europe qu’on se laisse manger la soupe sur la tête.
Emmanuel Macron a déclaré au magazine Forbes vouloir supprimer l’« exit tax », qui avait été mise en place par Nicolas Sarkozy. En quoi consiste
Erdoğan pressent le rôle à jouer de l’or qui, inéluctablement, remplacera un jour le dollar en tant que seule valeur crédible reconnue.

Si les taux augmentent ou s’il y a le moindre krach, l’État français, et pas seulement l’Italie, sera en faillite pure et simple.
Les créances douteuses du système bancaire sont très élevées, de l’ordre de 13 %.

Celui qui acceptera cette réorientation de son épargne perdra une partie considérable de sa mise.

Les produits dérivés des banques dans le monde atteignent le montant faramineux de 1.500.000 milliards de dollars !
Nous ne sommes pas sortis des difficultés, loin de là. Le déficit cessera d’être dangereux en dessous de 1 %. Le gouvernement pense y arriver en 2021.
Il ne faut pas désespérer de la parole politique, elle peut, parfois, être vraie.
La faible natalité d’aujourd’hui aura forcément des conséquences dans les secteurs économiques liés à une classe d’âge.
C’est l’impôt qui sauve le budget, et non la politique de réformes.
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