Quand Véronique Monguillot évoquait son mari après le drame : « On survit »

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Le procès des deux hommes impliqués dans la mort de Philippe Monguillot, en juillet 2020, a débuté ce vendredi à Pau, aux assises des Pyrénées-Atlantiques. Une affaire emblématique des ravages de l'ensauvagement français et d'un laxisme délétère sur la vie de Français innocents. Boulevard Voltaire avait rencontré et interrogé Véronique Monguillot, l'épouse du chauffeur de bus, fin juillet 2020, quinze jours après le drame. « J'ai pas de nouvelle vie, en fait, nous disait-elle. Je me bats pour lui, pour les enfants. J'essaie de m'accrocher à quelque chose qui me dit quelque part que je le reverrai. Je me lave les dents avec sa brosse à dents, je me parfume avec son parfum. On survit. » Véronique Monguillot nous disait ce qu'elle attendait de ce procès : « une peine exemplaire ». Un document poignant.

Vos commentaires

10 commentaires

  1. Les familles endeuillées par de tels faits sont déjà plus nombreuses qu’il y a trois ans et nous n’avons encore rien vu.

  2. Pauvre femme. Elle avait encore tant de bons moments, de belles années à partager avec son époux et ses enfants. Tout ce chemin de vie saccagé par des scélérats exotiques.

  3. Véronique Monguillot, victime, voudrait « une peine exemplaire » Je crois bien que la peine sera exemplaire, mais pas dans le sens qu’elle espère. Notre justice de gauche lui confirmera que son sort est d’être une victime à vie. A elle de faire l’effort d’oublier puisque, comme disait Léo Ferré, « avec le temps, va, tout s’en va, on oublie… »

  4. Madame, la vraie France est derrière vous et partage votre peine et votre douleur. Mais, hélas pour vous, vous ne cochez pas les bonnes cases pour qu’une partie de la France « boboïsante  » s’intéresse à vous.

  5. Dans les années 70 un chauffeur de bus agressé pour la direction c’était qu’il avait été agressif envers les agresseurs au départ et qui lui dérobaient sa caisse même toute altercation le client avait toujours raison.rien de nouveau sous les cieux de la France, les agresseurs ont toujours raison à présent c’est au niveau national.

  6. On survit il le faut bien , pour les enfants . Combien de familles survivent par la faute de ces élus qui accueillent des populations qui nous mettent en danger au quotidien . Combien de vies détruites par ces barbares . Et ça continue et il en arrive encore et encore , quand verra t’on la fin . Que des hommes jeunes qui débarquent et ça ne choque pas ces élus .Il faut mettre fin à cet accueil , cette immigration est un échec . Fermer les frontières , plus de subventions aux marchands d’esclaves et aux arrivants , renvoyer ceux qui sont entrés illégalement pour que de tels drames ne se produisent plus .

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