Par-delà l'épisode judiciaire dont il ne faut rien attendre, nous pouvons mesurer le degré de vulnérabilité de notre nécropole royale qui, depuis plusieurs années désormais, subsiste au milieu d'un territoire abandonné à l'immigration islamique, où l'on ne trouve plus beaucoup, dans les environs, âme française qui vive.

Des décennies de gestion communiste lui ont arraché ses racines chrétiennes, tout à l'illusion de leur substituer une nouvelle France laïcisée, marxisée et matérialiste. Or, la nature ayant horreur du vide, c'est un autre peuple et une autre religion qui prospèrent à présent alentour de ce témoignage à la fois grandiose et fragile : grandiose en son intérieur, et menacé constamment d'être saccagé par un soudain emportement hostile. On croit vivre le roman Sire, de Raspail, qui à la fin dès années 80 anticipait ce résultat.

Il est superflu de se poser la question rituelle : « Comment en sommes-nous arrivés là ? » car, en vérité, la réponse est simple : dans l'Histoire, les premiers profanateurs de la basilique n'ont pas été les musulmans mais les républicains sous la Révolution. Et ce sont leurs successeurs assumés qui, aujourd'hui, jettent la France en pâture. Cette alliance de fait, islamo-républicaine, doit être prise en compte dans l'analyse des menaces contemporaines.

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14 avril 2019 à 11:18

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