Gustave Fardas
Etudiant
Si la communication gouvernementale a longtemps exploité le mirage du jour d’après pour obtenir la docilité du peuple, elle s’oriente désormais vers le fatalisme face au virus.
Sous couvert de vacances, celui qui est encore un journaliste finalise sa préparation de campagne et transforme sa communication pour adopter un ton politique.
Face à l’émergence d’une nouvelle vague de mécontentement, Emmanuel Macron ressort les vieilles recettes employées lors des manifestations gilets jaunes.
il décrédibilise sa fonction, ridiculise les policiers, infantilise les gens et insulte les victimes de son incurie.
Ce que les journalistes, les politiques et les stars veulent cacher, ignorer, les Français le révèlent.
L’homme des champs passera cette crise. Il n’est pas survivaliste, mais il a gardé une distance protectrice avec la fragile société moderne.
En 2018, 10.790 policiers et gendarmes ont été blessés en mission, selon l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice.
Déjà, en octobre, la Cocarde étudiante avait fait face à l’hostilité des syndicats étudiants de gauche.
Si la communication gouvernementale a longtemps exploité le mirage du jour d’après pour obtenir la docilité du peuple, elle s’oriente désormais vers le fatalisme face au virus.
Sous couvert de vacances, celui qui est encore un journaliste finalise sa préparation de campagne et transforme sa communication pour adopter un ton politique.
Face à l’émergence d’une nouvelle vague de mécontentement, Emmanuel Macron ressort les vieilles recettes employées lors des manifestations gilets jaunes.
il décrédibilise sa fonction, ridiculise les policiers, infantilise les gens et insulte les victimes de son incurie.
Ce que les journalistes, les politiques et les stars veulent cacher, ignorer, les Français le révèlent.
L’homme des champs passera cette crise. Il n’est pas survivaliste, mais il a gardé une distance protectrice avec la fragile société moderne.
En 2018, 10.790 policiers et gendarmes ont été blessés en mission, selon l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice.
Déjà, en octobre, la Cocarde étudiante avait fait face à l’hostilité des syndicats étudiants de gauche.
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