Après l’Avent, il y a… l’après

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Dans son infinie clémence, sa majesté Macron Ier a déclaré une trêve des confiseurs en permettant au bon peuple de fêter Noël. Trêve, d’ailleurs, toute relative, une trêve en liberté surveillée par la peur… Mais dès demain, tout sera reparti comme en 14 !

Et l’hécatombe économique qui s’annonce, malgré le déversement massif de monnaie de singe, risque de faire très mal. D’autant plus mal que la France n’a plus d’État, la France n’a plus de gouvernants capables de prendre des décisions claires et nettes et de les appliquer, si impopulaires soient-elles. Celles et ceux qui sont au pouvoir ne sont obsédés que par une crainte : celle d’être mis en cause personnellement. D’où ces perpétuels atermoiements que l’on attribue trop facilement au fameux « en même temps ».

S’il est vrai que ce virus est une « belle saloperie » dont il sera difficile de se débarrasser et qui cause des dégâts collatéraux considérables, il me semble évident que la vaccination doit être obligatoire. Devant le flux continu d’informations médicales toutes plus contradictoires les unes que les autre, je dois confesser avoir eu une certaine réticence envers la vaccination. Notamment en raison du fait que le vaccin Pfizer irait titiller l’ADN, risquant ainsi de me transformer en OGM. Et puis j’ai entendu le professeur Axel Kahn qui a expliqué très simplement que le vaccin Pfizer n’était pas un vaccin : c’est un geôlier qui bloque systématiquement l’accès du virus à nos cellules, un point c’est tout.

Et puis, il y a un moment où le politique, dont le rôle premier est d’organiser la vie de la cité, doit prendre ses responsabilités. Depuis des mois, on nous « balade » de scientifique en scientifique, on nous explique qu’il n’y a pas de traitement miracle (sauf pour le Président, dont la rapidité de guérison a été vraiment spectaculaire) et qu’il faut attendre le vaccin.

Et maintenant que le vaccin est là (et même les vaccins), on continue à ergoter. C’est à pleurer...

Il est grand temps de soigner les cancéreux qui vont tomber comme des mouches, les cardiaques qui meurent d’infarctus… Grand temps que les restaurants, les spectacles, les rencontres sportives reprennent. Grand temps que les étudiants retrouvent leurs camarades et que les profs voient autre chose qu’un écran noir à longueur de journée.

Bref, il est grand temps que la vie reprenne, quitte à accepter la mort qui est, au demeurant, inéluctable.

Il faut que l’après ne soit pas comme l’avant.

Patrick Robert
Patrick Robert
Chef d'entreprise

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