71 % des Français veulent un référendum, Marine Le Pen aussi

Ce n'est pas un hasard si Marine Le Pen a rappelé, ce 23 mars, sur France Inter, que sa « première décision serait l'organisation d'un référendum sur l'immigration ». Selon la présidente du Rassemblement national, « cela fait maintenant des décennies que les différents gouvernements prennent des décisions en matière d'immigration sans que jamais le peuple français n'ait été entendu ou n'ait été questionné sur ce sujet ». Elle a aussi senti la puissante aspiration des Français à reprendre leur destin en main par cette voie.

Progrès, sécurité, emploi, justice : les Français n’ont plus confiance et sont de plus en plus exaspérés. Les sondages (71 % des Français veulent un référendum, Le HuffPost du 6/2/2019) de ces dix dernières années sont édifiants. Le principe de consulter le peuple par référendum au suffrage universel a été appliqué surtout à partir de la Constitution de 1958. Le général de Gaulle s’appuyait sur le peuple ou démissionnait, respectant ainsi le principe de la République : « le pouvoir du peuple par le peuple pour le peuple ». Mitterrand, lui, ne démissionnera pas. Il choisira la cohabitation. C’était le début de nos quarante années de déclin. Macron n’utilisera probablement jamais, hélas, le référendum parce que ses idées ne correspondent pas à celles de la majorité. Tôt ou tard, il faudra bien pourtant interroger les Français qui sont d’accord sur quelques fondamentaux.

STOP AU PROGRESSISME SANS LIMITES ET A L’OLIGARCHIE MONDIALISTE !

Stop au règne de l’argent, de la technologie et de la science sans conscience ! Non au tout informatique, au tout automatique. Stop à la manipulation des peuples réduits à l’état de simples consommateurs. Nous ne sommes pas sept milliards de clients. Le progrès, oui, mais à condition qu’il représente la vision d’une majorité de Français. Qu’il soit compatible avec nos valeurs traditionnelles : le respect de la nature, du patrimoine, de la famille, de la patrie, etc. On peut mourir pour la France, mais qui mourrait pour l’Europe ? Et pour le monde ?

VIVE LE RETOUR DE LA FRANCE DANS L’EUROPE DES NATIONS !

Non à la dilution de la France dans une Europe supranationale. Parce que les intérêts de l’Allemagne (elle le prouve tous les jours), de l’Italie, de l’Espagne… diffèrent, même s’ils se complètent. « La Cour suprême, c’est le peuple », force de la nation. Finissons-en avec le gouvernement des juges. Revenons aux fondamentaux de la Ve République. Stop à la propagande et à la dictature des médias et des minorités (antiracistes, féministes, islamo-socialistes...) qui pourrissent nos relations et notre pays, alimentent la haine de tous contre tous ! La presse et la télévision doivent être choisies et financées librement par chaque citoyen. Nous voulons aussi la fin des zones de non-droit, le retour de l’indépendance de notre pays, de la sécurité, de la protection de notre peuple, de nos paysans et de nos pauvres.

OUI À LA SÉCURITÉ ET NON AU LAXISME QUOTIDIEN DE LA JUSTICE !

60 à 70 % des Français réclament une grande sévérité vis-à-vis des délinquants, fussent-ils mineurs ou clandestins (75 % de Français estiment que la Justice, en France, fonctionne mal, voire très mal, Sud-Ouest 16/2/2014, sondage CSA et FigaroVox 3/3/2014). Le nombre de criminels récidivistes est effarant. S’il y a récidive, la Justice en sera responsable et devra rendre des comptes à ces milliers de familles de victimes meurtries à vie, ne les oublions jamais. Si nous manquons de prisons, il faut les construire. Mais, surtout, que les délinquants se souviennent toute leur vie de cette vie de prisonnier (au pain sec et à l’eau et sans télévision ni téléphone, mais avec des livres éducatifs) qui aura été suffisamment dure pour ne jamais y retourner. Et que notre futur Président soit suffisamment courageux pour rouvrir l’île du Diable (le bagne de Cayenne) s’il le faut ! Tout faire pour que les voyous fuient la France.

Référendum : la seule solution. D’accord, pas d’accord. Nous avons la Constitution. Appliquons-la ! Les trois quarts des Français réclament ce référendum depuis la crise des gilets jaunes. On pourra alors « sortir du chapeau » le Président qui correspond à une vraie majorité de nos électeurs. À condition, encore, de faire taire les médias de la calomnie : tâche difficile ! Ni socialisme soviétique, ni capitalisme américain. Notre Président sera d’abord au service du bien commun. À suivre...

Isidore
Isidore
Chroniqueur

Pour ne rien rater

Les plus lus du jour

L'intervention média

Les plus lus de la semaine

Les plus lus du mois