Depuis l’ouverture des frontières par la chancelière allemande Angela Merkel en 2015, de nombreux migrants venus par la route des Balkans sont arrivés en Autriche. Comme en Allemagne, les agressions sexuelles, viols et autres délits s’y multiplient.

Une sombre histoire de viol, qui s’est déroulée le 25 avril 2017, tard dans la soirée, à Tulln an der Donau, une petite ville de 16.000 habitants de Basse-Autriche située près de Vienne, a marqué les esprits.

Une jeune fille se trouvant sur le chemin du retour avait été suivie par trois migrants qui l’avaient fait tomber, l’avaient saisie et empêchée de crier avant de la violer plusieurs fois. Lorsque la victime était arrivée, grâce à sa force de résistance, à s’extirper et à fuir, elle avait été rattrapée par les agresseurs qui l’avaient traînée vers un endroit isolé et à nouveau violée. La victime avait été laissée à l’abandon dans cette prairie.

Un enquêteur avait ensuite déclaré : "La victime a dû endurer un martyre inimaginable."

Afin de trouver les coupables, le parquet a fait réaliser des tests ADN sur 59 migrants, dont certains sont des résidents d’un centre pour demandeurs d’asile situé dans cette localité. La police a arrêté, ce jeudi 18 mai 2017, un Afghan de 19 ans. Un Somalien est en fuite.

Ce fait vient s’ajouter à la longue liste des agressions sexuelles commises par des migrants non européens à travers l’Allemagne et l’Autriche. Malgré la multiplication de ces délits, la magistrature, si prompte à condamner les opposants politiques patriotes sur leurs idées, fait souvent preuve d’un grand laxisme envers les migrants violeurs venus du tiers-monde. Pendant ce temps, les agressions sexuelles en tous genres se poursuivent.

Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le 09/01/2020 à 18:51.

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20 mai 2017 à 18:00

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