Une nouvelle calomnie grossière de Libération contre Boulevard Voltaire

Boulevard Voltaire fait l’objet d’une nouvelle citation dans Libération. Et d’une nouvelle fake news. Dans un article titré Guerre en Ukraine, comment le compte twitter de l’ambassade de Russie en France est devenu un troll, la rubrique CheckNews, censée vérifier les informations données par d’autres médias (un comble !), fait à nouveau à Boulevard Voltaire un procès stalinien sur des griefs inventés de toutes pièces. Dans cet article, la responsable de la branche française de l’Institut pour le dialogue stratégique (IDS), « un think tank de lutte contre l’extrémisme et la polarisation » (sic), fait feu de tout bois : amalgame, fausse accusation, injure. Cette responsable évoque donc des sources « complètement alternatives issues d’écosystème de la complosphère française ou un peu plus alternative et qui adoptent des positions prorusses, comme France-Soir, Marcel Dubreuil, fondateur du média complotiste en 442 ou encore Boulevard Voltaire et l’animateur André Bercoff ». Voilà donc Boulevard Voltaire qualifié de complotiste prorusse et associé à « la complosphère française ». Une accusation lourde, évidemment fausse, très grave, très pénalisante, injustifiable et insultante pour nos journalistes, nos collaborateurs et nos lecteurs. Nos journalistes se battent pour trouver des sources fiables et les citent à l’appui de leurs propos. Libération ne s’est pas donné cette peine. Inutile de préciser que Boulevard Voltaire n’a reçu aucun appel téléphonique ni aucun mail, ni de la personne citée entre guillemets, ni de Libération, pour nous proposer de réagir afin d'infirmer ou de confirmer ces accusations. Pas de vérification, pas de confrontation. C’est pourtant la base du métier de journaliste ; en tout cas, c'est ce que nous croyons à Boulevard Voltaire. Et la base du débat démocratique. Cette rubrique CheckNews a des trous dans le « check ».

Dommage. Nous aurions pu tenter d’expliquer à Libération qu’on peut être de droite sans être complotiste. Nous aurions pu engager nos confrères à fouiller dans les écrits de Boulevard Voltaire à la recherche du moindre complot : ils n’auraient rien trouvé. Nous avons assez d’angles d’attaques sur tout ce que Libé défend, nous avons assez de faits reconnus sous les yeux pour inventer des complots. Nous n’avons jamais pris parti en faveur des Russes, dont nous avons toujours dénoncé l’initiative d’envahir l’Ukraine. Cette invasion nous paraît inconciliable avec le respect des patries que nous défendons. Nous avons cherché à éclairer les faits avec des généraux invités par ailleurs sur de nombreuses chaînes d’information, en toute conscience. Ces articles sont toujours en ligne sur notre site, ils ne ménagent pas la Russie. S'interroger sur le rôle de l'OTAN et des Américains (nous avons donné la parole à des pro et des anti-OTAN) n'est pas afficher un parti pris prorusse.

Jamais, à Boulevard Voltaire, nous n’attaquerions Libération, quel que soit le sujet, sans justifier nos reproches par des citations précises et circonstanciées, assorties d’un lien vers l’article concerné.

Mais ne nous y trompons pas : comme d’habitude avec Libération, il n’est pas question de vérité, de rigueur, encore moins de déontologie ou même d’honnêteté intellectuelle rudimentaire. Tout est bon pour vomir sur un média qui gêne parce qu’il ne partage pas la même vision de la France et du monde, parce qu’il a une audience croissante et parce qu’il se défend.

Mais tout n’est pas permis. Les tribunaux, en France, punissent la diffamation qui sera, ici, facile à démontrer. Boulevard Voltaire étudie donc l’opportunité d’un nouveau procès contre Libération. Quand on aime, on ne compte plus.

Vos commentaires

57 commentaires

  1. Il y a en effet lieu de s’inquiéter car la stratégie menée par nos « élites » est de mettre hors d’état de (leur) nuire tout ceux qui ne rentrent pas « dans le moule ». Les méthodes utilisées sont sordides mais imparables et nous l’avons vu avec l’obligation (qui n’en était pas une) vaccinale. Et vu qu’il est impossible d’aller vérifier la concordance des chiffres de chaque bureau de vote, la présidentielle est déjà jouée… Elle est pas belle la vie en « démocratie » ?

  2. Le fait de vous justifier vous rend déjà coupable, Staline l’avait bien compris. Une calomnie ne mérite qu’un silence méprisant et une assignation en justice, même si celle-ci est complice de Libé. N’entrez pas dans leur jeu!

  3. Ne pas répondre est une solution mais face à une opinion publique très fragile ce choix risque de laisser des traces imméritées.

  4. Dire que ce fut un bon journal !
    Les quelques derniers rares journalistes sont disséminés façon puzzle, on en trouve même au canard (ils ont salement vieilli…)
    Aujourd’hui il ne vit plus que des subsides de l’état. Il faut savoir un journal nait, vit et meure. Libé est en état de mort cérébrale.
    Info non répétée et pourtant primordiale pour nos libertés : selon Médic street 20 000 gilets jaunes ont été blessés…

  5. Soutien total a BV ! Honte a Liberation ! Trainez les en justice pour diffamation, ils ne se privent pas, eux, d’utiliser les tribunaux pour des motifs fallacieux ou futiles. Ca les calmera. La presse de droite devrait être plus offensive vis a vis de la presse de gôche toujours prompte a trainer en justice sèlzéseu qui ne sont pas du meme avis qu’eux, le camp du Bien

  6. Mais qui donc lit encore ce torchon gauchisant et agressif. Que l’on soit d’un avis différent ne plait évidemment pas à ce repaire de journaleux payés à coups de subventions de l’Etat, donc de nos impôts. La raclée prise aux élections par cette clique bobo les rend hargneux et brise leurs rêves d’un organe unique de propagande dans lequel il distilleraient leur pensée unique au « bon peuple ». Raté! Vive Boulevard Voltaire!

  7. Mais pourquoi cherchez-vous à, vous défendre ? Vous tombez dans leur piège. N’oubliez-pas que de tout temps, du moins depuis notre cher Empereur,  » l’attaque est la meilleure défense ». Alors attaquer Libération au lieu de vous défendre en « pleurnichant ».

  8. C’est comme à chaque conflit liberté ou libération se range coté russe.
    N ‘ oublions pas que l’ URSS subventionnait le PCF et la CGT.

  9. Les gens qui écrivent dans ce torchon ne sont pas des journalistes. Ce sont des procureurs, ils ne démontrent rien, ils accusent, dénoncent sans preuves. Il faut dénoncer, l’heure est au lynch, et l’exemple vient de haut, Macron, Pécresse et autres valets du macronisme comme Woerth . Ces attaques montrent que Boulevard Voltaire est un média redoutable par son sérieux et sa force de démonstration.

  10. Pour « Libération », ne pas penser comme est être complotiste.
    Sa rédaction n’avait rien à dire. Ils ont créé l’évènement.
    « Libération » vit des subsides publics. Ce n’est pas le cas de BV.
    « Libération » suivra sans doute le chemin du PS avec un lectorat disparaissant.

  11. La calomnie ! Monsieur, vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j’ai vu les plus honnêtes gens près d’en être accablés ; croyez qu’il n’y a pas de plate méchanceté, pas d’horreurs, pas de conte absurde qu’on ne fasse adopter aux oisifs d’une grande ville, en s’y prenant bien….
    (Pierre Augustin Caron de BEAUMARCHAIS, Barbier de Sév. II, 8)

  12. (Suite) Pour l’Ukraine,nous sommes dans une grande désinformation. Pour tuer Poutine, dison qu’il a la rage. Zelensky est la marionnette d’un oligarque qui a détroussé l’Ukraine. Ce même oligarque a offert une place à 80k$/mois à Hunter Biden, fils de Joe Biden dit « Sleepy Joe ». Poutine a attendu 8 ans que l’occident tienne se promesses … et que l’Ukraine massacre sa propre population au Donbass. plus de 14 000 morts !

  13. « Libération »!
    Le journal qui usurpe et abuse de ce mot noble par ailleurs est en train de disparaître.
    La complicité de la gauche caviar profiteuse qu’il représente avec les bobos macroniens et pecressiens a dégoûté à juste titre ses vrais lecteurs gauchistes.
    Je pense que nous pouvons désormais éviter de citer son nom et ignorer ses déclarations inutiles à la France.

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