« Des travaux publics surdimensionnés au bénéfice des constructeurs et non de l’usager ? »

Quand on voit la profusion et le gigantisme des dépenses d'équipement depuis les années Mitterrand, et quand on les compare avec l'ingéniosité tranquille, industrieuse, à taille humaine, dont le Second Empire a fait preuve pour engager la France sur le chemin de la modernité, on s'aperçoit que le miracle des années techno, des années béton, des années passe-droits, repose sur un sommet d'immodestie, une montagne de dettes publiques, une corruption généralisée, un mépris total de l'usager, en somme sur un volcan.

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