« Des travaux publics surdimensionnés au bénéfice des constructeurs et non de l’usager ? »
Un sommet d'immodestie, une montagne de dettes publiques, une corruption généralisée, un mépris total de l'usager.
Quand on voit la profusion et le gigantisme des dépenses d'équipement depuis les années Mitterrand, et quand on les compare avec l'ingéniosité tranquille, industrieuse, à taille humaine, dont le Second Empire a fait preuve pour engager la France sur le chemin de la modernité, on s'aperçoit que le miracle des années techno, des années béton, des années passe-droits, repose sur un sommet d'immodestie, une montagne de dettes publiques, une corruption généralisée, un mépris total de l'usager, en somme sur un volcan.
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Christian Combaz
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