Transhumanisme
Initialement fondée pour des raisons philanthropiques pour financer la médecine régénérative et le rajeunissement cellulaire, cette start-up compte désormais parmi ses investisseurs, Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon.
Philippe de Villiers annonçait que les Big Tech et le biopouvoir, l’accélération de l’automatisation et la normalisation du télétravail allaient transformer durablement notre civilisation.
Une réécriture postmoderne de la figure mariale où l’antihéroïne, enfantée par la machine – dieu des temps actuels –, accouche d’un bébé hybride, mi-humain mi-diesel…
« Les tatouages intelligents et autres puces électroniques pourraient aider à identifier et localiser les personnes. » écrit Klaus Schwab
La promesse transhumaniste d’un homme éternel et réparable à l’infini, multipotent et capable de s’affranchir des limites qui s’imposent à lui, continue de générer des rêves et des investissements colossaux.
Est-ce un choix conscient de notre société de privilégier une relation homme – machine à une relation homme – homme ?
L’ambition du transhumanisme est sommaire : asseoir le marketing du surhomme sur une aversion pour le sous-homme.
Réfléchir à des sujets comme « Qu’est-ce qu’un homme ? », « La valeur de la fragilité » ou « Qu’est-ce que le transhumanisme ? » est intolérable…
Initialement fondée pour des raisons philanthropiques pour financer la médecine régénérative et le rajeunissement cellulaire, cette start-up compte désormais parmi ses investisseurs, Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon.
Philippe de Villiers annonçait que les Big Tech et le biopouvoir, l’accélération de l’automatisation et la normalisation du télétravail allaient transformer durablement notre civilisation.
Une réécriture postmoderne de la figure mariale où l’antihéroïne, enfantée par la machine – dieu des temps actuels –, accouche d’un bébé hybride, mi-humain mi-diesel…
« Les tatouages intelligents et autres puces électroniques pourraient aider à identifier et localiser les personnes. » écrit Klaus Schwab
La promesse transhumaniste d’un homme éternel et réparable à l’infini, multipotent et capable de s’affranchir des limites qui s’imposent à lui, continue de générer des rêves et des investissements colossaux.
Est-ce un choix conscient de notre société de privilégier une relation homme – machine à une relation homme – homme ?
L’ambition du transhumanisme est sommaire : asseoir le marketing du surhomme sur une aversion pour le sous-homme.
Réfléchir à des sujets comme « Qu’est-ce qu’un homme ? », « La valeur de la fragilité » ou « Qu’est-ce que le transhumanisme ? » est intolérable…
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