Taha Bouhafs
Dans sa haine contre Linda Kebbab, Taha Bouhafs persiste et signe.
Le 3 juin 2020, le militant s’en était pris à la policière Linda Kebbab, déléguée syndicale d’Unité SGP-FO.
Le militant aimerait des Pasdaran. Mais nous ne sommes pas l’Iran ou l’Afghanistan. Pas encore.
Taha Bouhafs journaliste et militant d’extrême gauche a été réintégré au parti LFI
Les Insoumis n’en sortent donc plus. Les cris poussés pour exiger les départs de Gérald Darmanin et Damien Abad, accusés de violences sexuelles, ne masquent plus les turpitudes du parti de Jean-Luc Mélenchon.
L’épave du paquebot féministe, navire amiral du progressisme occidental, vient de se fracasser sur ses insondables contradictions.
La coalition NUPES autour de Jean-Luc Mélenchon n’est pas le seul parti à traîner des casseroles : celles de Renaissance (ex-LREM) devraient, elles aussi, faire du bruit !
L’annonce du retrait de Taha Bouhafs a provoqué bon nombre de réactions, à gauche . Reste cette question : qui, à gauche, a voulu et obtenu la peau de Bouhafs ?
Sans doute aurait-il fallu voir en Taha Bouhafs autre chose qu’un commode appât à électorat de « quartier populaire » mais davantage comme un Icare volant trop près des spots de la notoriété.
La confrontation de ces deux candidats médiatiques va faire de la 14e circonscription du Rhône une des circonscriptions symboliques. Car derrière le duel Attal-Bouhafs, deux France qui vivent côte à côte vont se retrouver face à face.
Puisque c’est Adrien Quatennens qui l’affirme.
Taha Bouhafs a été condamné « pour injure publique à raison de l’origine », en septembre dernier…
Dans sa haine contre Linda Kebbab, Taha Bouhafs persiste et signe.
Le 3 juin 2020, le militant s’en était pris à la policière Linda Kebbab, déléguée syndicale d’Unité SGP-FO.
Le militant aimerait des Pasdaran. Mais nous ne sommes pas l’Iran ou l’Afghanistan. Pas encore.
Taha Bouhafs journaliste et militant d’extrême gauche a été réintégré au parti LFI
Les Insoumis n’en sortent donc plus. Les cris poussés pour exiger les départs de Gérald Darmanin et Damien Abad, accusés de violences sexuelles, ne masquent plus les turpitudes du parti de Jean-Luc Mélenchon.
L’épave du paquebot féministe, navire amiral du progressisme occidental, vient de se fracasser sur ses insondables contradictions.
La coalition NUPES autour de Jean-Luc Mélenchon n’est pas le seul parti à traîner des casseroles : celles de Renaissance (ex-LREM) devraient, elles aussi, faire du bruit !
L’annonce du retrait de Taha Bouhafs a provoqué bon nombre de réactions, à gauche . Reste cette question : qui, à gauche, a voulu et obtenu la peau de Bouhafs ?
Sans doute aurait-il fallu voir en Taha Bouhafs autre chose qu’un commode appât à électorat de « quartier populaire » mais davantage comme un Icare volant trop près des spots de la notoriété.
La confrontation de ces deux candidats médiatiques va faire de la 14e circonscription du Rhône une des circonscriptions symboliques. Car derrière le duel Attal-Bouhafs, deux France qui vivent côte à côte vont se retrouver face à face.
Puisque c’est Adrien Quatennens qui l’affirme.
Taha Bouhafs a été condamné « pour injure publique à raison de l’origine », en septembre dernier…