[SATIRE À VUE] Les Français tentés par un Noël d’occasion

16 commentaires

1. « 57 % des Français y accordant plus d’attention qu’il y a trois ans ». Et si, tout comme les sondages politiques, cette « enquête » avait pour but de convaincre les abrutis qui n’ont toujours pas compris ce que la bien-pensance essaye de leur mettre dans la tête ? Et même en admettant que le résultat ne soit pas pipé, n’est-il pas le résultat de réponses tronquées du fait de personnes n’osant pas admettre au sondeur qu’il n’en a rien à faire de leur escrologie ? Un peu comme quand, il y a quelques années encore, les sondages se trompaient sur les intentions de vote du RN car les sondés n’osaient pas.
   Et si les personnes qui achetaient de la seconde main avaient l’honnêteté de dire que c’est pour économiser un peu d’argent plutôt que pour la planète ?

   • Je suis d’accord avec vous sans compter que le fait de savoir que l’on peut revendre en seconde main incite à consommer encore plus tout en se donnant bonne conscience puisque cela pourra servir à quelqu’un d’autre de plus pauvre que soit même .

2. Noël n’est pas une fête commerciale, ce n’est pas haloween, ou le black friday, c’est une fête religieuse, chrétienne, qui commémore la naissance du Christ. Je sais, ça écorche les oreilles de certains, mais c’est comme ça. Jésus, le fils de Dieu pour les chrétiens, est né dans une étable, pas dans un palais en or, ce n’est peut-être pas un hasard. Le christianisme des origines prône la modestie et la frugalité en toute occasion, cela ne veut pas forcément dire qu’il faut jeûner le soir de Noël et se flageller, mais peut-être qu’un retour aux valeurs chrétiennes (qui sont universelles) et à l’essence même de ce que peut représenter cette date, la naissance du messie au solstice d’hiver, serait souhaitable dans ce monde devenu fou. Noël est un phare dans les ténèbres. Il est bon de s’en souvenir et de ne pas y mélanger les délires commerciaux et idéologiques d’une société sans repères et sans valeurs.

3. La Presse de seconde main, quelle bonne idée! Cela permettrait de ne pas gaspiller l’argent de nos impôts pour subventionner des journaux que seuls lisent les journalistes.

4. Et pendant que le petit peuple fait de la seconde main nos  »zélites » font le show a Notre-Dame transformée pour la circonstance en un temple de la bobocratie .

5. Les achats de seconde main sont souvent aussi des achats par nécessité . Les français n’ont plus de sous et pourtant l’Etat continue à vouloir leur faire les poches . C’est bien joli de mettre l’étiquette «  écologie «  pour ce qui n’est de de «  l’économie »

6. Comme la plupart des cadeaux (surtout les jouets) ont été fabriqués à l’étranger (même lointain), c’est effectivement une bonne chose pour ne pas grever un peu plus notre balance commerciale.

7. « Le meilleur moyen de passer un Noël vraiment joyeux » s’est transformé, pour les écolos gauchistes et laïcards (pléonasme), par …. « un hiver joyeux » !! Enfin presque parce que l’hiver économique, social, environnemental qui nous est promis par nos polititocards risque d’être long, froid et douloureux.

8. Comme toujours, l’excès est préjudiciable !

9.  » Au soir du 24 décembre, nous recommandons la presse de seconde main ceinte de rubans multicolores ».
   E x c e l l e n t !!

10. Fort heureusement, il n’y aura pas de seconde main pour Macron. Une fois dehors, il n’y aura aucun sursis à sa date de préemption.

    • Il ne faut surtout pas croire cela, Il n’y aura pas de date de préemption pour Macron, ces interventions a l’international sont des marchepieds pour un destin planétaire vue qu’il semble intervenir au minimum dans les problèmes de vie courante des Français, sécurité, pouvoir d’achat, perte de services publique … .

      • Allons, il faut rester positif!
        J’espère que le Père Noel va nous apporter le souhait de @ Lélue58 , qui est aussi le mien.

11. Le black friday a fait le plein.
    Ce qui montre que les gens essayent de dépenser en économisant

    • C’est quoi le black friday, une nouvelle communauté ou un nouveau magasin ?

    • En effet, je pense plus par économie que par conviction

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