« Je ne comprends pas le laxisme des politiques européens », dit un réfugié aux Pays-Bas !
"Manchester : le terrorisme islamiste poursuit sa guerre contre l’Europe", titre Le Figaro du 24 mai. "Manchester : le terrorisme islamiste poursuit sa guerre contre une Europe ouverte culturellement et géographiquement aux quatre vents mondialistes et antiracistes faisandés", serait peut-être plus approprié.
Notre cher Président Macron disait hier encore : "C’est la jeunesse européenne qui a été attaquée", oubliant sans doute, tout pressé d’instrumentaliser le sang des victimes au bénéfice d'une construction européenne selon le diktat cher à son cœur mondialiste, que précisément l’Angleterre et sa jeunesse viennent de s'exclure de l’Europe en question - je veux dire de cette "construction" européenne bidon.
Les Français ont eu, d’ailleurs, beau signifier leur opposition à cette dernière par voie de référendum, c'est aujourd’hui leur fondement qui garde encore les traces de ce douloureux et démocratique souvenir. C’est donc d’abord la jeunesse anglaise qui a été attaquée, par un "jeune" Anglais. Quant à la jeunesse française, ne fut-elle pas attaquée par Macron, pauvre politicien de sa pauvre époque, lorsque celui-ci n'hésita pas une seconde à se faire carpette aux pieds du dey d’Alger, dressant sans vergogne une partie d’entre elle (victime, soi-disant, de l’Histoire) contre une autre (actrice du soi-disant méfait historique) par arrière-grands-parents français criminels contre l’humanité interposés ? Ces sinistres imbéciles comptent-ils réconcilier ainsi "les jeunesses" en vue de leur grande partouze mondialiste ? L’on est amené à se demander si, précisément, ce n’est pas exactement ainsi qu’on aboutit à "Manchester" et, précédemment, "au Bataclan"…
Selon les dernières informations, il y aurait un arrière-plan libyen (réfugiés ayant fui Kadhafi) dans la famille du jeune nihiliste musulman auteur de l’agression contre "la jeunesse européenne" (dixit Macron) et dont le père serait quelqu’un en vue dans une mosquée du coin.
C’est un autre son de cloche intéressant, concernant la Libye, qui nous vient d’un réfugié touareg du Niger aux Pays-Bas, Abakoula Argalaless, témoignant à visage découvert dans Algemeen Dagblad du 23 mai. L’article comporte ce titre : "N’importez pas le chaos et l’anarchie qui règnent en Afrique." Arrivé de Libye en 1991, son histoire décrit "le chaos dans les pays africains, le déferlement migratoire vers le nord, le lucratif trafic d’êtres humains qui se répand comme une traînée de poudre sur l’Égypte, le Soudan et la Libye, ainsi que la faillite de la politique migratoire européenne". "Les groupes terroristes comme l’État islamique sont très actifs et les bandes criminelles ont les mains libres", témoigne-t-il. "Il y a trois soi-disant gouvernements dont des fonctionnaires travaillent activement avec les malfaiteurs, gagnant des millions avec l’industrie des otages."
Pratiquement tous les "réfugiés" régulièrement sauvés au large de la Libye proviennent de ce trafic. "L’Europe doit prendre en charge ceux qui fuient la guerre, mais dire clairement aux réfugiés économiques qu’il n’y a pas de place pour eux : ils doivent rebâtir leurs propres pays." Soulignant le danger de l’immigration de masse, il affirme "ne pas comprendre le laxisme et la mollesse des politiques européens". Et ce n’est pas un populiste réactionnaire européen moisi qui vous le dit : "Je suis musulman, mais ils me demandèrent pourquoi je priais." "Tu pourriras quand même en enfer, où ta peau noire te sera arrachée par les flammes […], le racisme arabe contre les noirs y va totalement de soi."
C’est tout ça que l’aveuglement imbécile de Merkel et Macron, en passant par tous leurs prédécesseurs, est en train d’importer en Europe.
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