[L’INVITÉ] « On ne se rend pas compte de ce que vivent certains enfants »

33 commentaires

1. La frustration ! mais oui ! il est interdit d’interdire, cela vous dit quelque chose ? et puis Monsieur ne semble pas vouloir parler de l’enfant roi dans certaines cultures ! je peux vous dire que je connais bien ! Mr Raufer disait que dans une même famille les filles peuvent réussir quand les garçons deviennent des voyous !
   Les limites nous les avions, nous, mais si il y a des cultures où les garçons sont roi, on fait comment ? Et puis LA REUSSITE, vous savez qu’il fallait, pour la gauche, être égalitaire, alors qu’est ce qui peut pousser en avant, un enfant ? et puis aussi, les profs qui n’ont pas les mêmes idées politiques, vous croyez que cela ne se sent pas ? ( voir pour ces 2 profs tués qui n’ont pas été défendus ) comment se fait il que des enfants ne sont pas en classe alors que l’école est obligatoire ?? cela faisait partie de mon travail d’appeler les parents …etc

2. Comme le dit Panchoa, et d’autres,Excellent thème pour la Fête des Pères !
   Dans notre passé Kato, après confession, le curé, comme pénitence aurait demandé de réciter 10 Pater et 10 Avé
   Mais ne sommes-nous pas tous des mécréants dans notre civilisation féministe ?
   Demander à un Mélanchon ou à ses adeptes de reconnaître le respect de ses parents, de ses semblables, c’est l’inciter à prendre son couteau !
   Depuis plus de 50 ans, nos politicards de tous bords nous assurent que le progrès, c’est la haine du mâle blanc et ils nomment à de hautes fonctions celles qui préconisent de l’éliminer !
   Les résultats sont là !

3. L’interview est intéressante, dommage que l’emprise de l’État n’est été que rapidement brossée. Qui aujourd’hui n’est pas en colère contre le laxisme des juges, la corruption la gabegie ou l’impuissance ( ou lâcheté…) de nos dirigeants, les appels à la guerre des mêmes, la prédation de nos richesses, …on nous martèle l’esprit avec la dette, avec la guerre, avec le dépôt de bilan de la sécu, …si les adultes sont en colère, les enfants qui sont des éponges ne peuvent que l’être sans compter qu’une des conséquences de la période du COVID voulue anxiogène par nos dirigeants ont infusé une peur panique telle que des familles se sont carrément enfermées chez elles et que l’école a été très souvent maltraitante sans compter les atteintes à notre liberté…Des enfants, des adultes qui pètent les plombs, personnellement je les comprends, tous n’ont pas eu la chance d’avoir une famille qui les ont préservés, tous n’ont pas un moral d’acier ou la foi chevillée au corps. Alors l’interdiction des réseaux des couteaux …encore moins de liberté et pas une solution, l’éducation oui à condition que l’Etat nous laisse respirer…

4. Excellent sujet pour la fête des pères : éduquer et élever pour des jeunes heureux , responsables et autonomes .
   Quant à cette épidémie de couteaux dans les cartables , il est urgent de se poser les bonnes questions : quelle religion enseigne que les mécréants ( c’est-à-dire toi et moi) doivent être soumis ou égorgés ? Pire encore que le bon musulman gagne son paradis en tuant des mécréants . Et tous les bas de plafond de l’excuse facile , de l’enfant-roi ,de la charité avec l’argent des autres et de la pitié facile avec des migrants-colonisateurs viennent vous faire des leçons de civisme et de tolérance…. « la tolérance il y a des maisons pour ça !  »
   Et certains s’étonnent dans l’actualité très récente du parallèle entre le coran et « mon combat » .

   • Cette notion d’enfant-roi est faussée dès le départ : l’enfant n’a que des droits que lui dictent ses pulsions. Mais c’est tout le contraire d’un roi : celui-ci avait avant tout des devoirs.
     Signe du destin : le collège où s’est produit ce meurtre d’un adulte par un enfant porte de nom de Françoise Dolto, grande prêtresse de « l’enfant-roi » !

5. je voudrais revenir sur l’aspect  » maman solo » : lors de la première guerre mondiale on ne comptait plus les veuves restées seules avec enfant à charge, pour autant il n’y a pas eu une génération de « voyous » !!
   Bien sûr idéalement l’enfant grandit mieux entouré d’un papa et d’une maman, mais ceci étant çà ne les empêchent pas de  » déraper » aussi si on n’est pas vigilent !Moi j’ai des petits enfants qui ont leur père et mère, mais la vigilence éducative reste de tout les instants et il faut impérativement que s’applique la règle de
    » si l’enfant n’est pas puni d’avoir fait une bêtise, il recommence » ! donc oui, la punition ( qui doit être proportionnée )doit s’appliquer et dès le plus jeune âge. Pour avoir longtemps gardé des petits qui n’était pas les miens j’ai observé qu’avec moi ils étaient heureux, contents, joyeux et en confiance et ne faisaient pas de bêtises, alors que dès que maman ou papa venait les récupérer les comédies et les caprices recommençaient !

   • Excellent quand on voit que ça sert d’excuse pour certaines mamans qui ne savent pas gérer leur progéniture !! Et en plus en ces temps compliquées, les mères n’avaient pas d’allocs !!! Et devaient se débrouiller seules et les enfants n’étaient pas pour autant des délinquants, alors la culture de l’excuse ras le bol

   • Bien d’accord avec vous : mes 2 arrières-grand’mère ( voire 3 ) ont éduqué d’une main de fer ( et de velours-respect-et tendresse), l’une veuve 3 garçons et une fille ; l’autre divorcée 1 fille et 2 garçons ; la troisième avec un mari entrepreneur surbooké officier de réserve et résistant en maquis 2 filles et 3 garçons : presque tous ont bien réussi et aucun ne posait problème. ( et ils savaient leur credo et gloria en latin..

6. BRAVO aux commentaires de SYLVAIN et NESTORINE ci dessous.
   Rien à ajouter !!!!

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