Je relève, parmi beaucoup d'autres, ce tweet signé Marcelino : « L'Angleterre a confiné sa population depuis près d'un mois, et vaccine à tout va depuis début décembre, et là ce pays bat des records de décès et de contaminations. Où est la crédibilité de tout ça ? #Covid19 »

Et je pense que l'on pourrait relever les mêmes effets de ces mesures liberticides à travers le monde et, bien sûr, en France où confinement, couvre-feu, reconfinement, couvre-feu n'empêchent nullement le Covid-19 de poursuivre son chemin sans, toutefois, pour l'instant mobiliser l'ensemble de nos lits de réanimation ou d'hospitalisations.

Et pourtant, si l'on en croit ce cher docteur Olivier Véran, le troisième reconfinement n'est pas à exclure, a-t-il annoncé le 21 janvier. Les Français étant confinés, peu iront se faire tester, donc les cas recensés quotidiennement baisseraient forcément. Mais gageons que les hospitalisations et réanimations seront tout aussi nombreuses, puisque le virus ne veut pas perdre la guerre qu'il nous impose.

Alors, pourquoi cet abus sécuritaire, cet abus de précautions alors que les multiples experts conseillers de nos décideurs savent plus que nous autres que le virus ne nous lâchera pas aussi facilement. Pourquoi ne pas suivre les conseils de Marion Maréchal ou de Florian Philippot et autres qui disent de nous laisser vivre, de cohabiter avec ce maudit virus ? Vaccinons, vaccinons. Demandons aux personnes dites vulnérables et à nos anciens de limiter leurs contacts et de s'auto-confiner afin que les Français puissent reprendre une vie normale, et cela, dès maintenant, sans attendre la fin des vaccinations dont les autorités ignorent quand elle aura lieu.

Le quinquennat d'Emmanuel Macron aura été éprouvant à bien des égards. Alors, à moins d'un an et demi de son départ ou de sa réélection , qu'il lâche le lest nécessaire. La liste des dégâts dus aux mesures qu'il nous aura imposées est effrayante. Cela va du port du masque ou des vaccinations à nos très jeunes enfants aux études perdues d'une jeunesse qui ne peut se satisfaire d'un repas à un euro ou de « chèques psy ». De la vie quotidienne dont nous avons perdu depuis un an toute sa raison d'être à une catastrophe économique sans précédent, en tous cas depuis 1945 !

Tout ça pour ça. Quoi qu'il en coûte, a répété notre cher Président à 66 millions de procureurs. Mais le prix commence à être exorbitant. Et tout porte à croire qu'il nous annonce une année 2021 jumelle de celle qu'il vient de nous faire vivre !

Alors, trop, c'est trop. Il semblerait bien que la coupe soit vite pleine si la liberté de vivre avec ce virus, en nous en protégeant bien sûr, ne nous est pas rendue. Avec mesure, mais sans restriction pour notre vie quotidienne. Masqués là où il le faut, en rejetant les masques dits artisanaux dont on nous a pourtant vanté les bienfaits. En respectant une certaine distanciation. Et en ouvrant bars et restaurants qui se sont toujours fait un devoir des respecter les mesures sanitaires.

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22 janvier 2021 à 11:55

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