[La semaine média] Le service public a des choses à cacher
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Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire. Tel pourrait être le slogan des médias de service public. La patronne de France Télévisions, Delphine Ernotte, avait vendu la mèche en juillet 2023, lorsqu'elle avait admis, devant la commission des finances de l'Assemblée, que son but n’était pas de représenter la France « telle qu’elle est, mais telle qu’on voudrait qu’elle soit »... Digne des régimes soviétiques, cette doctrine a des conséquences bien concrètes en termes de traitement de l’information : elle se traduit par la surexploitation des faits conformes au storytelling officiel et l’évacuation de ceux qui le contredisent. D’où l’intérêt de lire BV et, ainsi, échapper à la censure du réel !
L’occultation des informations déplaisantes
Vendredi dernier, par exemple, nous vous parlions de ce stage de drag-queen organisé près de Bordeaux à destination d’enfants de 11 ans et plus. Un « stage drag qui casse les codes », organisé par la MJC CLAL de Mérignac, une maison d'éducation populaire financée par la CAF, le département de la Gironde et la mairie, qui ambitionnait d’apprendre à ses tout jeunes participants à marcher en talons et à défiler sur scène comme une vraie drag-queen…
Or, il se trouve que cet événement et la levée de boucliers qu’il a suscitée n’ont pas été portés à la connaissance des lecteurs de France Info. On a beau chercher, on ne trouve aucun article sur ce sujet sur le site du média public. Faut-il en déduire que les journalistes de France TV jugent cette polémique dérisoire ? Qu’ils ne voient pas quel mal il y a à initier des enfants de 11 ans au travestissement ? On peut le penser : la plate-forme Slash TV du service public fait elle-même la promotion de la culture drag auprès du jeune public au travers, notamment, de l’émission Drag Race. Ceci explique peut-être cela…
"Drag Race France, c'est pas réservé à un public Queer" ✨#DragRaceFrance saison 2, c’est tous les vendredis 18h00 sur la plateforme @francetv et à 23h05 sur @france2tv ! pic.twitter.com/MzVDCqCsb0
— francetvslash (@francetvslash) August 4, 2023
Plus grave : l’occultation médiatique a également concerné, cette semaine, deux intrusions dans des écoles maternelles de Paris. La première a eu lieu lundi 5 février, dans le XIIe arrondissement. Un homme armé de couteaux a tenté de s’en prendre aux élèves retranchés dans une salle de classe. Il a fallu l'intervention d'une dizaine d'hommes pour interpeller l'individu en lui donnant des coups de taser. Il s’agissait d’un Nord-Africain sous OQTF.
Deux jours plus tard, c’est une école maternelle du Xe arrondissement qui était visitée par un autre homme malintentionné. Selon les premiers éléments de l’enquête, l’intrus, qui était muni de deux couteaux à viande, fait l’objet d’une fiche de recherche car considéré comme dangereux avec des troubles psychiatriques.
Mais aussi inquiétantes soient-elles, ces intrusions n’ont pas fait les gros titres. Bien malin celui qui en trouvera une seule mention sur les sites de France TV et Radio France.
Paris : muni de deux couteaux à viande, un homme s’introduit dans une école maternelle en pleine nuit
➡️ https://t.co/0v1QBMB0J9 pic.twitter.com/P0YXQzDhhx— Le Parisien | Paris (@LeParisien_75) February 8, 2024
En est-il de même pour nos aînés ? Il est permis de le penser. Depuis quelques mois, les viols de vieilles dames en France se succèdent dans une étrange indifférence. Bien souvent, les violeurs se trouvent être des migrants sous OQTF. Ce fut le cas à Lille, en janvier 2023, où une femme de 78 ans fut violée par un Guinéen ; à Versailles, en septembre 2023, où une sexagénaire fut violée par un Algérien ; puis à Ozoir-la-Ferrière, en janvier 2024, où une grand-mère de 75 ans fut violée par un autre clandestin en situation irrégulière. Lundi dernier, c’est une Française âgée de 91 ans qui a porté plainte pour « des faits de viol et séquestration avec actes de barbarie » commis par un homme de 34 ans. Le mis en cause est - ô surprise ! - un étranger sous le coup d’une OQTF. Mais, là encore, l’audiovisuel public est aux abonnés absents. Le calvaire de la malheureuse nonagénaire n’a pas fait l’objet du moindre article sur les différents sites des médias d’État. Pendant ce temps, les journalistes se passionnent pour le cas Judith Godrèche. Les articles de France Info consacrés aux plaintes déposées par l’actrice se comptent par dizaines… Vous comprenez, Benoît Jacquot n’est ni un clandestin ni un travesti. Faire le récit de ses méfaits est donc tout à fait permis.
Jean Kast
Journaliste indépendant, culture et société
21 commentaires
Nous avons tout compris. Ces viols, ces agressions au couteau, ces perversions à l’attention de la petite enfance répondent à l’objectif de Delphine Ernotte : « son but n’est pas de représenter la France « telle qu’elle est, mais telle qu’on (qu’elle) voudrait qu’elle soit »… C’est plus blanc que blanc. Pourquoi donc dénoncer ces faits ? Ils sont naturels et bienvenus dans les esprits dérangés de ce type d’élite.
Le « service public » médiatique est ainsi. Par exemple, Donald Trump devait recevoir son injonction jeudi dernier pour ne pas se présenter aux élections (ou bien si oui). Et bien je n’ai rien entendu sur le sujet et nous sommes mercredi, et Trump a fait un score stalinien dans le Nevada depuis l’avis de la Cour Suprême. Je n’ai vu aucune info, par contre, si la Cour avait évacué Donald, alors là, imaginez TF1, F2, Fr3, BFMTV, Le Monde, Libé, quelle explosion de joie !!!!
Mais où sont donc passées les féministes ? Comme les chaînes du service public ces « prétendues défenseuses des femmes » sont financés par l’argent public. Comment se fait-il que l’Etat ne fasse pas son boulot et ne vérifie pas l’utilisation de cet argent si durement gagné par le con-tribuable spolié ? Quelles auraient été les réactions de ces 2 instances irresponsables si une femme voilée avait été agressée ?
J’estime que par souci d’équité, tout l’audiovisuel et toute la presse devrait être subventionnée proportionnellement au nombre d’auditeurs et/ou de lecteurs. Là on pourrait parler de service public, même de service « au » public. Actuellement, ce sont quelques idéologues enragés qui se partagent le magot au détriment d’une information honnête et impartiale.
Quand on a vécu 6 ans auprès d’un mec, on ne vient pas se plaindre, plus de trente ans après, d’avoir été « violée ». À l’époque, la jeune femme était mineure, sans aucun doute, mais sans aucun doute aussi était -elle pleine d’ambition cinématographique. Ceci explique cela dans de nombreux cas de stars qui déclarent leur viol 30 à 40 ans après la gloire …..
La « promotion canapé » cela existe, et comme vous dites ne pas venir en parler 30/40 ans après lorsque celle-ci cesse de fonctionner !
Les enfants et les vieux n’interessent pas les idéologues..Terrifiant.
Tiens l’Arcom a t’il était saisi pour occultation d’informations dérangeantes par reporter sans frontières?
L’illustration que nous avons besoin d’une chaîne comme CNews pour rester vraiment informés sinon Delphine Ernotte obtiendrait son objectif : une représentation de la France telle qu’elle voudrait qu’elle soit. C’est du lavage de cerveau, du conditionnement sans vergogne.
Ernotte souhaite un régime soviétique en France !!
C’est pour cela qu’il faut soutenir les médias qui en parlent comme BV ou CNews et que l’on veut faire taire
Ces viols à répétition de femmes plutôt âgées me révoltent et me dégouttent. les mouvements féministes ont été infiltrés mais ne sont pas là pour défendre réellement les femmes..C’est juste un entre-soi d’actrices en collusion avec les « élites ».
Si les mouvements féministes s’intéressaient à la femme ordinaire, ils manifesteraient en permanence pour le renvoi des OQTF et le blocage d’arrivée de migrants désaxés. Mais non : on traque le pervers dans le show-biz et on promeut l’éducation des enfants par les drag queens !
Le viol de personnes âgées, même très âgées est révoltant mais pas pour tout le monde semble il par pour la NUPES et les défenses des femmes. Peut être pour ces gens là on est plus une femme passé un certain âge voir même qui serait le violeur pour tout âge confondu.
Que les mouvements féministes ne s’offusquent pas de l’image qu’ils donnent de la femme me sidère .
Ras le bol que des minorités de dépravés nous imposent ça et traumatisent nos petits . La laideur et le ridicule dans toute sa splendeur .
Combien de temps encore faudra t-il supporter çà ?
Quand est ce que les français vont « comprendre » ce que disent et promulguent les « membres » qui sont au service de « Renaissance » ? … Le « Président-des-cercueils » et tous ses sinistres des différents « gouverne-et-ments » depuis mai 2017 ne sont que dans le fracas …
A chaque crise sociale ou sociétale; le thème devient « la priorité de ce pouvoir » et est placé « au dessus de tout » ! … Le cas de l’Agriculture est un énième arbre qui cache la forêt ! … Sauf que là « ça » devient la forêt vierge ayant subit tous les tsunamis possibles et imaginables depuis que l’UE a réfléchit à mettre en place la fameuse PAC …
On ne peut pas construire sur des ruines ou en ayant une fondation remplie de « mal façons » … Seul les mondialistes et nos coucous poli-tocards qui se gavent sur ce dysfonctionnement peuvent et veulent que rien ne change et en même temps inoculent le venin « encore plus d’Europe » ! …
« n’était pas de représenter la France « telle qu’elle est, mais telle qu’on voudrait qu’elle soit » »
Euh…le « ON », pourrait-on savoir de qui il s’agit ?
Mais c’est déjà le cas dans la publicité, les séries, les reportages! Je ne reconnais pas la population de mon village!
On est au siècle de la laideur. Cela ne peut pas favoriser l’équilibre des futures générations. Pourquoi vouloir cette visibilité traumatisante ? Ceux qui ont besoin de ça devraient se cacher. Le liberticide, les groupes échangistes ne s’adonnent pas à leurs deviances devant tout le monde. On parlait autrefois de maisons de tolérance. Ce genre de mœurs ne devraient pas pouvoir s’exposer en extérieurs, et surtout pas en face de jeunes enfants qui ne peuvent pas comprendre.