Le cap a été franchi ! La marque aux trois bandes (une qui s’allonge, une qui achète et la troisième qui applaudit bêtement, confondant, par lâcheté le plus souvent, l’ouverture et la soumission) a lancé le hijab sportif ! C’est sûr, ce vêtement est très pratique pour un footing : pas d’aération pour le crâne ni le cou, de quoi se choper une belle insolation ! Et si, au fond, la loi du marché précédait la loi ancestrale qui oblige le citoyen à protéger sa mère patrie ? L’argent étant devenu l’alpha et l’oméga des « puissants », tout est bon pour faire du « biff », y compris le renoncement à sa propre civilisation.

Ce que les grandes entreprises occidentales, françaises en particulier, nos politicards et nos technocrates refusent de comprendre, c’est que ce vêtement est bien plus qu’un symbole religieux : ce n’est ni plus ni moins qu’un objet de conquête victorieuse. Normal, le chantage victimaire d’une minorité soi-disant « brimée » apeure nos « élites ». Là où les disciples du prophète ont échoué à deux reprises par les armes, ils sont en passe de le réussir par le soft power avec la complicité d’un pouvoir politique émasculé et soumis au « tout économique ». La question est la suivante : quelle France, quel Occident voulons-nous à l’horizon 2050 ? Une civilisation démocratique, fière de son triple héritage grec, romain et chrétien, ou une régression vers un califat qui n’a jamais fait progresser l’humanité ?

Pour conclure, nos fleurons économiques, comme nos politiques, ont choisi non pas une mais deux soumissions : face à l’islam conquérant et face à la loi de l’argent. Aux Français de savoir ce qu’ils veulent : rester un grand peuple, libre et fier, ou s’enfoncer dans la dhimmitude et la décadence du simple « con sommateur ».

Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le 04/06/2020 à 18:23.

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30 mai 2020 à 21:27

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