Dans vos commentaires, cette semaine : « Soyons dignes de ces jeunes Résistants du passé ! »

Mairie de Beyssenac
Mairie de Beyssenac

BV se bagarre, prend des risques et prend des coups, comme le rappelle Gabrielle Cluzel dans son article « Chers lecteurs de BV, soutenez nos jeunes journalistes agressés par les antifas ». Après l’agression de notre journaliste Jordan Florentin en marge de la manifestation du 9 mars, Gabrielle Cluzel fustige l’insupportable mansuétude dont bénéficient toujours les casseurs d’extrême gauche. « Jordan Florentin et Inès Chopard - qui ressemblent à des skinheads comme moi à une antifa -, attaque notre égérie, ne sont pas du genre à céder aux menaces. Boulevard Voltaire a porté plainte, continuera à aller là où il le jugera bon et veut dire toute sa fierté à ses jeunes journalistes qui font leur boulot stoïquement, courageusement, sans se laisser démonter, sans surréagir ni répondre aux provocations. Soutenez-les ! », demande-t-elle.

Et c’est ce que vous faites, chers lecteurs. JDGalet applaudit : « Bravo, ne lâchez rien. Ce deux poids deux mesures devient insupportable. » Merbor73 ironise : « Porter plainte, au rythme où s’exerce la justice… Je pense que vos deux jeunes journalistes avoisineront l’âge fatidique des 64 ans, juste pour écrire leurs mémoires ! Il faut organiser une manifestation d’ampleur nationale et régionale pour arrêter ces exactions. » Philbert de Grand Lieu s'engage : « Je suis de tout cœur avec l’ensemble de la rédaction qui fait un travail sérieux et prend aussi en compte des avis contraires, sans sectarisme ! Oui, vous dénoncez les wokistes et je suis sûr que si vous leur proposiez un débat, ils le refuseraient. » Allonsenfants use du même ton : « Bravo à ces jeunes journalistes et merci ! Soutien total ! » Prévenons nos adversaires : la bataille n’est pas perdue, elle ne fait que commencer. Comptez sur nous, chers amis, pour la mener sans ménagement.

Car la Macronie s’enfonce et l’espoir renaît en France, malgré tout. Dans son article « Macron au Congo, ou les tribulations d’un Président en boîte de nuit », Georges Michel taille au président de la République un short… colonial, moquant « ce nouvel album présidentiel : Macron au Congo. Pour faire court, il nous aura tout fait. Ou presque », écrit-il. « Après avoir frôlé l’incident diplomatique, Emmanuel Macron est allé se frotter à la foule en sortant en boîte de nuit à Kinshasa. Faut bien se détendre, vous me direz : "Il s’agirait de grandir", comme disait Hubert Bonisseur de La Bath dans OSS 117 : Le Caire, nid d’espions. » Face à ce drôle d’oiseau de nuit, le ras-le-bol monte : Ré-Zo-Ré a sa conviction : « Ce Président est un soixante-huitard attardé qui aime bousculer l’ordre établi et imposer ses contradictions. Il se conduit comme un ado et le théâtre de l’Élysée est sa scène favorite. Or, la politique est un métier et la jeunesse n’excuse pas tout. » Gaulois De Souche se désole des effets de ces pitreries sur le prestige de notre pays : « Quand je pense que certains rêvent d’une conférence de la paix organisée à Paris pour résoudre le conflit ukrainien. Comment voulez-vous que la France soit prise au sérieux quand on a un bouffon pareil à l’Élysée ? » Et Syclams interroge : « Sommes-nous dans un régime totalitaire dont certains membres de la classe dirigeante ont des comportements de soudards ? Ils en ont le vocabulaire ("emmerder"), la gestuelle (bras d’honneur), le comportement (attouchements et étreintes), les fréquentations (boîtes de nuit et leur faune). Nous sommes très éloignés des attitudes publiques exemplaires et respectueuses du général de Gaulle, de Pompidou, de Giscard, de Mitterrand. » C'est peu dire...

Non content de ridiculiser la France en Afrique pendant que ses ministres bataillent sans lui sur les retraites, Macron lui ouvre aussi ses portes toutes grandes avec une immigration folle. Débordé, l’État au main de l'ex-banquier d'affaires Macron qui a abandonné les campagnes françaises comme aucun de ses prédécesseurs se souvient d'elles pour leur envoyer… des migrants. Le mauvais sort est ainsi tombé sur la petite commune limousine de Beyssenac.

« Franc comme un âne qui recule », comme disent les paysans limousins, l’État macronien donne là toute la mesure de sa duplicité, procède par surprise, accuse à demi-mot le maire de jouer double jeu, refuse de donner toutes les informations, culpabilise et balaye les angoisses des habitants d’un revers de main. Marc Baudriller raconte comment ces ruraux font face, seuls, à l'État, « appuyé par les associations de soutien aux migrants généreusement subventionnées » pour conserver leur identité. Notre lecteur Le Grillon est net : « Il faut que tous les élus qui aiment leurs communes soient vent debout contre ces projets. » Alors que les habitants de Beyssenac viennent justement de rendre hommage à leurs morts pour faits de Résistance lors de la dernière guerre, Anna s’émeut : « On ne peut que pleurer devant cette liste de très jeunes gens morts pour délivrer la France de l’emprise de l’Allemagne ! S’ils avaient su ! Ils ne se doutaient pas que, par la suite, la France se laisserait envahir par des populations désireuses de remplacer les autochtones et d’installer l’islam. Cette invasion progressive est encore plus pernicieuse que la première, elle ne suscite aucune résistance. Bien plus : elle est fomentée par nos gouvernants et acceptée par un peuple soumis et lâche qui vote pour sa propre disparition. Soyons dignes de ces jeunes Résistants du passé ! » On ne saurait mieux dire.

Photo Mairie de Beyssenac, Beyssenac.com

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