On parle beaucoup des généraux, en ce moment. À tort et à raison, surtout de travers. Qu’est-ce qu’un général ?
Nos citoyens à la retraite sont donc bien des « civils » de plein droit, sans restriction aucune.
Si les évêques continuent de mettre voix, mitres et crosses au placard, le troupeau des fidèles va se disperser faute de bergers, les maires feront de leurs églises des salles de spectacle…
Le vote favorable de l’Assemblée à la création de la Collectivité européenne d’Alsace (CEA) va poser les bases d’une séparation de fait et anticonstitutionnelle de l’Alsace.
Nous n’étions ni consuméristes ni infantilisés ni socialisés. Nous nous tenions debout et avions, nous aussi, retroussé nos manches.
Notre feu-follet ferait un ministre de la Culture tout-à-fait acceptable.
Nos dirigeants sont à leur vraie place : près du poêle au fond de la classe, là où les cancres s’épanouissent.
« Au bal des faux cils », le maquillage est roi.
La réaction tweet tardive du Président douze heures après l’attentat islamiste contre les soldats de Sentinelle pose un certain nombre de questions.
La rue bientôt, aussi. Comme dirait l’autre, ça va castagner !
Quand quelqu’un est obligé de rappeler publiquement qu’il est le chef, cela signifie clairement qu’il ne l’est pas et ne le sera jamais.
Ce mardi 11 juillet, l’Église fêtait saint Benoît, proclamé patron de l’Europe par le pape Paul VI en 1964.
Un observatoire des « quatre volontés » présidentielles mériterait d’être créé.
Il nous manquait, en France, la « climatophobie ». On y va tout droit et Hulot qui s’en dédit.
On parle beaucoup des généraux, en ce moment. À tort et à raison, surtout de travers. Qu’est-ce qu’un général ?
Nos citoyens à la retraite sont donc bien des « civils » de plein droit, sans restriction aucune.
Si les évêques continuent de mettre voix, mitres et crosses au placard, le troupeau des fidèles va se disperser faute de bergers, les maires feront de leurs églises des salles de spectacle…
Le vote favorable de l’Assemblée à la création de la Collectivité européenne d’Alsace (CEA) va poser les bases d’une séparation de fait et anticonstitutionnelle de l’Alsace.
Nous n’étions ni consuméristes ni infantilisés ni socialisés. Nous nous tenions debout et avions, nous aussi, retroussé nos manches.
Notre feu-follet ferait un ministre de la Culture tout-à-fait acceptable.
Nos dirigeants sont à leur vraie place : près du poêle au fond de la classe, là où les cancres s’épanouissent.
« Au bal des faux cils », le maquillage est roi.
La réaction tweet tardive du Président douze heures après l’attentat islamiste contre les soldats de Sentinelle pose un certain nombre de questions.
La rue bientôt, aussi. Comme dirait l’autre, ça va castagner !
Quand quelqu’un est obligé de rappeler publiquement qu’il est le chef, cela signifie clairement qu’il ne l’est pas et ne le sera jamais.
Ce mardi 11 juillet, l’Église fêtait saint Benoît, proclamé patron de l’Europe par le pape Paul VI en 1964.
Un observatoire des « quatre volontés » présidentielles mériterait d’être créé.
Il nous manquait, en France, la « climatophobie ». On y va tout droit et Hulot qui s’en dédit.