C’est une véritable bombe que vient de lâcher Contribuables associés en publiant la liste des dix associations qui ont reçu le plus de subventions de la part de l’État. 1.846 associations ont touché moins de 1.000 euros de la part de l'État en 2016, quand les 888 autres ont reçu la bagatelle de plus d’un million d’euros par an en moyenne !

Dans ce Top 10 de la dépense publique inconsidérée, des noms connus : l’Association nationale pour la formation professionnelle des adultes (AFPA), épinglée par la Cour des comptes pour sa mauvaise gestion en 2014 ; Coallia, qui se fait fort d’aider à l’accueil et à l’hébergement des réfugiés ; France terre d’asile, qu’on ne prendra pas la peine de présenter à nouveau ; le Fonds pour le financement du dialogue social, bénéficiant aux syndicats de salariés et aux syndicats patronaux ; le FONGEP (Fonds de coopération de la jeunesse et de l’éducation populaire), qui s’adresse principalement aux jeunes des « quartiers » ; ou bien encore la Ligue de l’enseignement, qui appelait dernièrement à « faire barrage au Front national » (ce qui est illégal) !

Il est peut-être peu politiquement correct de le dire, mais les missions de ces associations dites « d’intérêt public » n’ont quasiment aucun intérêt pour 90 % de la population, c’est-à-dire ceux qui, par leurs impôts, les financent. Et quel financement : des dizaines de millions d’euros tous les ans ! Des dizaines de millions d’euros jetés par la fenêtre. Et, parfois pire, des dizaines de millions d’euros qui financent l’installation de migrants clandestins sur le sol français, de migrants clandestins qui commettront peut-être un jour des délits, des crimes sexuels, sinon des attentats.

Le gouvernement parle souvent de la nécessité de réduire la dette et d’avoir un budget à l’équilibre. Soit, mais commençons par reprendre l’argent indûment versé. Pourquoi donner 44 millions d’euros à France terre d’asile, dont l’objectif affiché est de "promouvoir, auprès de l’opinion et des pouvoirs publics, toutes les activités favorables au développement de la tradition d’asile et des migrations de droit, quelle que soit la conjoncture politique et économique" ? Où passe cette manne colossale ?

Cela ne peut plus durer ! Ce gaspillage est insoutenable, et ce, d’autant plus que l’État ne peut pas vérifier si les sommes sont bien utilisées. Le système des subventions est en train d’épuiser la France, d’épuiser les contribuables, d’épuiser nos ressources de solidarité. Comment voulez-vous que les Français aient envie de donner le peu qu’ils gagnent quand ils apprennent que leur argent part dans des associations qui ont pour but de noyer leur pays sous un un flux de clandestins indésirables ? Osons dire non !

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04 décembre 2017 à 15:53

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