Après un nouveau crime commis par des migrants, Angela Merkel dénonce la chasse aux immigrés
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Alors que la population allemande est confrontée, quotidiennement, à la délinquance des migrants importés par la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel, et notamment à des agressions sexuelles et des meurtres commis par ceux-ci, un nouveau drame survenu à Chemnitz, en Saxe, le dimanche 26 août 2018 à 3 h 15 du matin, qui a coûté la vie à un Allemand de 35 ans et envoyé deux autres Allemands, âgés respectivement de 33 et 28 ans, lourdement blessés, à l’hôpital, a conduit, le même jour en fin de journée, des citoyens à descendre dans la rue et à se rassembler afin de s’élever contre ces actes.
Les forces de l'ordre ont arrêté les auteurs supposés des faits : un Syrien âgé de 23 ans et un Irakien de 22 ans. Selon des informations non confirmées par la police, cet événement aurait pour origine le fait qu’une femme aurait été harcelée par plusieurs hommes, les Allemands blessés et celui décédé – à la suite de 25 coups de couteau ! - étant venus à son secours.
Comme souvent, les médias subventionnés ont présenté les manifestants, qui sont visiblement de simples citoyens, comme des "extrémistes de droite" et ont mis en avant le fait que l’un ou l’autre étranger se trouvant dans la rue aurait été poursuivi et frappé par des manifestants alors que ces derniers criaient "Les étrangers dehors !", "Ceci est notre ville !" et "Nous sommes le peuple !" (un slogan utilisé en 1989 lors des manifestations qui ont conduit à la chute du régime communiste).
Cette presse avait été mise en cause lorsque la chaîne de télévision publique ARD n’avait pas évoqué, dans son journal télévisé, le meurtre au couteau, à la mi-août 2018, d’un médecin – son assistante étant lourdement blessée lors de l’attaque - à Offenbourg, au Bade-Wurtemberg, par un demandeur d’asile somalien. Le rédacteur en chef avait alors répondu que cet événement n’avait pas une portée nationale mais seulement régionale.
Lors des attaques sexuelles de masse perpétrées à Cologne et à Hambourg le 1er janvier 2016 par des migrants nord-africains ou de type arabe, la presse du système avait également été accusée de ne pas avoir abordé immédiatement le sujet alors que celui-ci était largement diffusé sur les réseaux sociaux et les sites allemands de réinformation.
Ce lundi 27 août 2018, le porte-parole d'Angela Merkel a dénoncé des "chasses collectives" contre les immigrés qui "n'ont pas leur place dans notre État de droit", oubliant que le président de la CSU - son allié social-chrétien bavarois - et actuel ministre de l’Intérieur, de l’Urbanisme et de la Patrie, Horst Seehofer, avait qualifié, en février 2016, la politique des frontières ouvertes de cette chancelière, permettant à de nombreux migrants d’entrer illégalement dans le pays, de "règne du non-droit".
Une nouvelle manifestation a eu lieu à Chemnitz, autrefois appelée Karl-Marx-Stadt, lundi en fin de journée, et a rassemblé plusieurs centaines de personnes.
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