Trois policiers agressés dans un centre de rétention administrative

Brève breve

Ce dimanche 17 novembre, un brigadier-chef du centre de rétention administrative de Colombier-Saugnieu, près de Lyon, a été violemment attaqué par un ressortissant tunisien. S'emparant de son bâton de défense, le retenu lui a assené plusieurs coups de poing à la tête. Deux gardiens de la paix, venus pour aider leur collègue, ont également été blessés. L'individu a été interpellé et placé en garde à vue.

L'agression a eu lieu aux alentours de 11 heures, alors que les retenus effectuaient leur promenade quotidienne. Trois détenus ont commencé à s'en prendre aux agents au moment où ceux-ci leur demandaient de regagner leur chambre, indique Valeurs actuelles. L'un d'eux a été interpellé, les deux autres, maîtrisés, ont été conduits à l'isolement.

Le brigadier-chef s'est vu délivrer une incapacité totale de travail (ITT) de 30 jours. Il souffre d'une luxation à l'épaule et de blessures au visage. Ses deux collègues ont reçu 15 et 3 jours d'ITT.

Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le 20/11/2024 à 22:01.

Vos commentaires

21 commentaires

  1. Soutien plein et entier à nos policiers, gendarmes, gardiens de prisons, forces de l’ordre en général. A défaut d’une justice impartiale, ils doivent savoir qu’une partie du peuple est avec eux. Un grand merci pour ce que vous faites Mesdames et Messieurs pour sauvegarder notre sécurité dont la justice se contrefiche.
    Sentiment d’insécurité ???? Non, insécurité réelle en France.

  2. ON va lui demander de suivre un stage de « citoyenneté » !!!!!! DEHORS les étrangers à notre pays, retour dans vos beaux pays…..FOUTEZ nous la PAIX !!!!

  3. C’est bien joué ! Maintenant qu’il va être en attente de son jugement il n’est plus expulsable selon nos belles lois

  4. Transfert direct des OQTF des tribunaux, de la prison, des centres de rétention, dans l’avion et retour chez eux. Pourquoi 8 recours possibles pour ces illégaux souvent dangereux et aucun recours pour les délits financiers, comme nous le démontre le cas Le Pen ? On marche sur la tête, mais surtout on n’a que faire de la sécurité des francais, et surtout de la police en 1ere ligne.

  5. Une solution : SOS Méditerranée convoie les OQTF en bordure des eaux territoriales de leurs pays et les places dans des embarcations sécurisées pour les amener au port le plus proche. Aucune autorisation nécessaire. Et en cas d’avarie, leurs gouvernants sont tenus de les prendre en charge. Sauf erreur…

  6. Loges, nourris, blanchis et loges gratis à nos frais de ploucs de français et ils ne sont pas contents

  7. Remettre le délit de séjour irrégulier .
    Donc les mettre en prison.
    Et pouvoir les expluser directement après la prison.
    Aux USA , si la personne ne donnent pas ses détails sur son identité.
    Il reste en prison .

  8. Supprimons ces CRA, et mettons en service des dizaines de charters pour débarquer ces gens-là dans les aéroports de leurs pays, que cela plaise ou non à ces pays…..et sans même leur demander leur avis.

    • Pourquoi pas .
      Le chantage aux visas de travail est une excellente solution.
      Ce que font certains pays .
      Si vous ne reprenez pas vos délinquants.
      Plus aucun visa de séjour et de travail.
      Les saoudiens sont maîtres en la matière.
      En 2017 ,10.000 soudanais ont été expulsés.
      Généralement, des gens ayant des visas expirés.
      Rendre les patrons aussi responsables d’employer des clandestins.
      On pourrait fermer leur entreprise un moment .
      Et les envoyer en prison

      • Leur rendre la vie impossible.
        Bilan ils demandent a repartir .
        Sans visa , de rien pouvoir faire , aucun travail , pas de ligne de téléphone, pas de compte en banque, pas de sécurité sociale.

  9. Combien de temps va t’on laisser nos forces de l’ordre dans l’incapacité de se défendre ? Si nos policiers pouvaient bénéficier de la présomption de légitime défense, les candidats à la violence contre eux seraient moins nombreux, sachant qu’ils risqueraient une réplique immédiate, proportionnée et bien méritée. Quand ceux qui sont chargés de nous défendre ne peuvent pas se défendre eux-même ; la loi de la jungle n’est pas bien loin.

  10. Les « retenus » préfèrent souvent la sanction pénale pour demeurer sur le territoire. Cela prolonge d’autant plus le temps passé sur notre sol et, qui sait, propice à la régularisation. Non ? Qu’en pensez-vous ?

    • Oui c’est une stratégie qui marche.
      D’autres, quasi psychiatriques, incapables d’autonomie, récidivent à leur sortie de prison.

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