Emmanuel Macron
La nouvelle idole républicaine française a de la poigne.
Nous vivons vraiment d’étranges moments historiques.
Le président Macron va découvrir la mauvaise gestion du conseiller et du ministre de l’Économie qu’il fut.
Philippe Bilger apporte son éclairage sur les ennuis judiciaires de François Bayrou et continue à faire l’éloge des « débuts éblouissants » du Président.
Ce n’est certainement pas la fin des soucis ni des lapsus pour notre Président.
Il est normalement une tradition, au conseil municipal d’Orléans, que chaque groupe puisse commenter le résultat d’une élection ; sauf pour la dernière.
Depuis son élection, Emmanuel Macron multiplie les signes et les symboles positifs envers la communauté militaire.
Les politiques n’ont pas que le devoir et les journalistes les droits.
Il y a quelque chose d’étrange et de nouveau sous le ciel démocratique français.
La seule opposition, idéologique, organisée, à laquelle il va devoir faire face dans les mois à venir sera l’opposition de la gauche extrême.
Vraiment, chers amis patriotes, il est temps de revenir à la raison !
En validant et en pérennisant la situation du second tour Macron-Le Pen, il prend le risque de voir et de faire grandir cette opposition-là.
Au plus près du réel, il y a une France fracturée et fissurée.
Son mariage avec un technocrate de la droite contribuera à donner d’Emmanuel Macron l’image d’un homme neuf, détaché des vieux clivages partisans.
Ce n’est pas un choix qu’on fait à la va-vite. Il a été mûrement réfléchi, pesé.
Sans jamais aborder les problèmes de fond qui taraudent notre société, Macron a surfé sur la vague anti-Le Pen.
Aujourd’hui, un boulevard s’offre à notre Président.
Après avoir serré des dizaines de louches médaillées, l’Élu s’offre un petit bain de foule. On entend alors longuement le youyou d’une femme arabe.
« Transgraissons », vive la table rase… gratis pour tous, vive le Fourzitout !
Macron, c’est Charlie Ier. Premier monarque d’une nouvelle dynastie, dans une démocratie post-moderne qui efface les fro
Les organisations islamiques ne se sont pas trompées en apportant leur soutien à Macron.
À y regarder de près, il est loin d’avoir la confiance de deux tiers des Français…
Parce qu’il n’a pas été un tribun, Emmanuel Macron n’a jamais été condamné à sacrifier cette « menue monnaie » de l’argumentation mais à tenir compte de tout.
Il se pourrait que le nouveau Président renoue avec la tradition et endosse les rôles que l’Histoire lui confère.
Défendre les intérêts français face à une Allemagne libre-échangiste et particulièrement dure pour les négociations économiques, ne sera pas facile.
Macron a su jouer auprès d’une France seniorisée sur ces nostalgies de jeunesse vivaces mais sous-estimées.
Il paraît que notre nouveau président de la République serait le plus jeune président élu du monde.
La nouvelle idole républicaine française a de la poigne.
Nous vivons vraiment d’étranges moments historiques.
Le président Macron va découvrir la mauvaise gestion du conseiller et du ministre de l’Économie qu’il fut.
Philippe Bilger apporte son éclairage sur les ennuis judiciaires de François Bayrou et continue à faire l’éloge des « débuts éblouissants » du Président.
Ce n’est certainement pas la fin des soucis ni des lapsus pour notre Président.
Il est normalement une tradition, au conseil municipal d’Orléans, que chaque groupe puisse commenter le résultat d’une élection ; sauf pour la dernière.
Depuis son élection, Emmanuel Macron multiplie les signes et les symboles positifs envers la communauté militaire.
Les politiques n’ont pas que le devoir et les journalistes les droits.
Il y a quelque chose d’étrange et de nouveau sous le ciel démocratique français.
La seule opposition, idéologique, organisée, à laquelle il va devoir faire face dans les mois à venir sera l’opposition de la gauche extrême.
Vraiment, chers amis patriotes, il est temps de revenir à la raison !
En validant et en pérennisant la situation du second tour Macron-Le Pen, il prend le risque de voir et de faire grandir cette opposition-là.
Au plus près du réel, il y a une France fracturée et fissurée.
Son mariage avec un technocrate de la droite contribuera à donner d’Emmanuel Macron l’image d’un homme neuf, détaché des vieux clivages partisans.
Ce n’est pas un choix qu’on fait à la va-vite. Il a été mûrement réfléchi, pesé.
Sans jamais aborder les problèmes de fond qui taraudent notre société, Macron a surfé sur la vague anti-Le Pen.
Aujourd’hui, un boulevard s’offre à notre Président.
Après avoir serré des dizaines de louches médaillées, l’Élu s’offre un petit bain de foule. On entend alors longuement le youyou d’une femme arabe.
« Transgraissons », vive la table rase… gratis pour tous, vive le Fourzitout !
Macron, c’est Charlie Ier. Premier monarque d’une nouvelle dynastie, dans une démocratie post-moderne qui efface les fro
Les organisations islamiques ne se sont pas trompées en apportant leur soutien à Macron.
À y regarder de près, il est loin d’avoir la confiance de deux tiers des Français…
Parce qu’il n’a pas été un tribun, Emmanuel Macron n’a jamais été condamné à sacrifier cette « menue monnaie » de l’argumentation mais à tenir compte de tout.
Il se pourrait que le nouveau Président renoue avec la tradition et endosse les rôles que l’Histoire lui confère.
Défendre les intérêts français face à une Allemagne libre-échangiste et particulièrement dure pour les négociations économiques, ne sera pas facile.
Macron a su jouer auprès d’une France seniorisée sur ces nostalgies de jeunesse vivaces mais sous-estimées.
Il paraît que notre nouveau président de la République serait le plus jeune président élu du monde.