Conseil d’État
Les chaînes C8 et NRJ12 devront cesser d’émettre à compter du 28 février 2025.
Qui croira que la décision de l’Arcom est apolitique ?
Montebourg a pointé, en particulier, deux décisions du Conseil d’État qu’il considère comme des trahisons.
La semaine qui vient de s’écouler a été marquée par la décision fantastique du Conseil d’État.
« Dans la série Qui veut la peau de CNews, voici… le Conseil d’État ! » Tel était le titre de l’édito de Gabrielle Cluzel,
Une différence toutefois : journalistes et conseillers d’Etat affichent leur sectarisme au vu de tous
Le même traitement sera-t-il réservé à BFM TV et, surtout aux médias publics, entretenus par les impôts de tous ?
L’École, qui ne transmet plus les savoirs essentiels, doit-elle aussi accentuer ces déconnexions du réel ?
Dans une décision rendue ce jeudi, le Conseil d’État annule la dissolution du collectif Les Soulèvements de la Terre.
L’association Action droits des musulmans avait déposé un référé-liberté pour contrer la décision de Gabriel Attal.
L’arrêté préfectoral publié le 26 juin permettait l’utilisation de drones de surveillance aux frontières
Il faut se réjouir de cette décision qui pourra servir de ciment à d’autres.
À l’heure où les discussions sur le projet de loi Immigration battent leur plein, cette nomination d’un homme aux partis pris idéologiques tranchés a de quoi inquiéter.
Pourquoi obliger l’école à accepter des prénoms qui ne correspondent en rien à la réalité biologique, si ce n’est par idéologie woke ?
Le Conseil d’État indique, par ailleurs, que le montant des amendes en cas de non-respect du passe sanitaire « sera revu à la baisse ».
Cette décision est grave et peut-être anticonstitutionnelle, puisque des juges, non élus, se sont invités dans la rédaction des lois, violant de ce fait la séparation des pouvoirs.
Pour les requérants, c’est la disproportion des mesures qui scandalise.
Quand on interdit la messe, c’est qu’on a déjà sapé beaucoup des libertés fondamentales.
Le Conseil d’État juge en particulier que, pour les lieux de culte, « le risque de contamination n’y est pas écarté ».
Parce que, dans notre pays de fous, non seulement les coquilles vides d’adhérents sont subventionnées mais, en plus, elles font des procès à celui qui les nourrit. Ne souriez pas, on parle de votre argent !
C’est donc un recul démocratique décisif, par la substitution d’un pouvoir judiciaire non élu à un pouvoir exécutif découlant du suffrage universel.
Et il y a encore des Français qui nous emmerdent avec leur retraite à 60 ans. Franchement…
Les chaînes C8 et NRJ12 devront cesser d’émettre à compter du 28 février 2025.
Qui croira que la décision de l’Arcom est apolitique ?
Montebourg a pointé, en particulier, deux décisions du Conseil d’État qu’il considère comme des trahisons.
La semaine qui vient de s’écouler a été marquée par la décision fantastique du Conseil d’État.
« Dans la série Qui veut la peau de CNews, voici… le Conseil d’État ! » Tel était le titre de l’édito de Gabrielle Cluzel,
Une différence toutefois : journalistes et conseillers d’Etat affichent leur sectarisme au vu de tous
Le même traitement sera-t-il réservé à BFM TV et, surtout aux médias publics, entretenus par les impôts de tous ?
L’École, qui ne transmet plus les savoirs essentiels, doit-elle aussi accentuer ces déconnexions du réel ?
Dans une décision rendue ce jeudi, le Conseil d’État annule la dissolution du collectif Les Soulèvements de la Terre.
L’association Action droits des musulmans avait déposé un référé-liberté pour contrer la décision de Gabriel Attal.
L’arrêté préfectoral publié le 26 juin permettait l’utilisation de drones de surveillance aux frontières
Il faut se réjouir de cette décision qui pourra servir de ciment à d’autres.
À l’heure où les discussions sur le projet de loi Immigration battent leur plein, cette nomination d’un homme aux partis pris idéologiques tranchés a de quoi inquiéter.
Pourquoi obliger l’école à accepter des prénoms qui ne correspondent en rien à la réalité biologique, si ce n’est par idéologie woke ?
Le Conseil d’État indique, par ailleurs, que le montant des amendes en cas de non-respect du passe sanitaire « sera revu à la baisse ».
Cette décision est grave et peut-être anticonstitutionnelle, puisque des juges, non élus, se sont invités dans la rédaction des lois, violant de ce fait la séparation des pouvoirs.
Pour les requérants, c’est la disproportion des mesures qui scandalise.
Quand on interdit la messe, c’est qu’on a déjà sapé beaucoup des libertés fondamentales.
Le Conseil d’État juge en particulier que, pour les lieux de culte, « le risque de contamination n’y est pas écarté ».
Parce que, dans notre pays de fous, non seulement les coquilles vides d’adhérents sont subventionnées mais, en plus, elles font des procès à celui qui les nourrit. Ne souriez pas, on parle de votre argent !
C’est donc un recul démocratique décisif, par la substitution d’un pouvoir judiciaire non élu à un pouvoir exécutif découlant du suffrage universel.
Et il y a encore des Français qui nous emmerdent avec leur retraite à 60 ans. Franchement…
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