8 mars
En ce 8 mars, dans un entretien intime et inédit, Marion Maréchal se confie à BV.
Deux cent dix6huit ans après sa naissance, cette féministe « qui fut la première femme à se présenter à des élections législatives » sème ainsi à nouveau la discorde parmi les bien-pensants du Palais Bourbon.
Les néo-tricoteuses qui réclament des têtes aujourd’hui ressemblent furieusement à celles d’hier, quand Danton, emporté dans la charrette du condamné, criait à Robespierre « Ton tour viendra ! »
Demain, comme tous les autres jours, ce sera la fête des droits des hommes : taux de mortalité, de suicide, d’incarcération, de déchéance de la garde parentale, d’exercice de métiers à risque. Le premier sexe explosera les compteurs et on n’en fera pas un drame.
Chaque jour qui passe offre aux néo-féministes de salon l’occasion d’inventer de nouvelles oppressions, le courage leur manquant pour s’attaquer aux véritables menaces qui pèsent sur les femmes.
Reste la deuxième grande cause du mandat de Marlène Schiappa : retrouver le ou la ministre abominable qui a ébruité l’affront qui lui fut fait au cours du Conseil des ministres.
En France, et je pense que c’est le cas dans de nombreux pays européens, on dirait que seule la gauche est autorisée à défendre la cause des femmes. Je refuse cette confiscation.
Nous sommes au XXIe siècle et il faut se rendre à l’évidence : la femme est plus que jamais sous tutelle, seul le tuteur a changé… aussi souple qu’une barre à mine.
En ce 8 mars, dans un entretien intime et inédit, Marion Maréchal se confie à BV.
Deux cent dix6huit ans après sa naissance, cette féministe « qui fut la première femme à se présenter à des élections législatives » sème ainsi à nouveau la discorde parmi les bien-pensants du Palais Bourbon.
Les néo-tricoteuses qui réclament des têtes aujourd’hui ressemblent furieusement à celles d’hier, quand Danton, emporté dans la charrette du condamné, criait à Robespierre « Ton tour viendra ! »
Demain, comme tous les autres jours, ce sera la fête des droits des hommes : taux de mortalité, de suicide, d’incarcération, de déchéance de la garde parentale, d’exercice de métiers à risque. Le premier sexe explosera les compteurs et on n’en fera pas un drame.
Chaque jour qui passe offre aux néo-féministes de salon l’occasion d’inventer de nouvelles oppressions, le courage leur manquant pour s’attaquer aux véritables menaces qui pèsent sur les femmes.
Reste la deuxième grande cause du mandat de Marlène Schiappa : retrouver le ou la ministre abominable qui a ébruité l’affront qui lui fut fait au cours du Conseil des ministres.
En France, et je pense que c’est le cas dans de nombreux pays européens, on dirait que seule la gauche est autorisée à défendre la cause des femmes. Je refuse cette confiscation.
Nous sommes au XXIe siècle et il faut se rendre à l’évidence : la femme est plus que jamais sous tutelle, seul le tuteur a changé… aussi souple qu’une barre à mine.