Terrorisme
Dans cette affaire, tout y est : le commerce halal communautaire, le réfugié syrien gentiment accueilli par la France
L’attentat de Magdebourg accentue une prise de conscience croissante des insuffisances structurelles face aux migrants.
« Une fois encore la barbarie islamiste sème la terreur au cœur de l’Europe », réagit Marine Le Pen.
Le prédicateur islamiste Abdelhakim Sefrioui a déclaré qu’il faisait appel immédiatement.
De simples faits divers ? Il faut manquer de curiosité journalistique pour dénier à ces trois faits des traits communs.
Les services de sécurité sont confrontés à des acteurs de plus en plus jeunes et difficiles à détecter.
Le futur est incertain tant les acteurs sont nombreux, les intérêts différents, les retournements d’alliances possibles
Pour une partie de la gauche et de l’extrême gauche, aucun jour n’est sacré…
À cette heure, sur le compte officiel de LFI, aucune publication ne fait mention de cette nuit d’horreur.
Emmanuel Macron est pourtant bien placé pour savoir quelles sont les causes réelles du djihadisme.
Face aux questions, le gouvernement Starmer se drape dans une dignité de plus en plus hypothétique.
« Circulez, y a rien à voir. Sur l’affaire Paty, il y a un blocage de l’État, incapable de reconnaître ses torts. »
N’en déplaise à Antoine Léaument, ce ne sont pas les musulmans que les islamistes cherchent à tuer, en France…
Parce que c’est arrivé ; pour que cela n’arrive plus.
« 7 octobre : quelles conséquences en France ? » Lors de la conférence du CRSI, le constat dressé est sans appel.
L’avenir dépend d’une réponse politique adaptée et déterminée face à cette menace.
Le suspect a été arrêté le 4 septembre au Canada.
Cette inversion des rôles est désormais une figure médiatique imposée après chaque attentat islamiste.
Le monde politique reste tétanisé par la peur de se voir accuser d’islamophobie…
Khalid Cheikh Mohammed finira sa vie à Guantánamo.
Derrière cette tribune, un célèbre collectif est à la manœuvre : les Soulèvements de la Terre.
L’État soupçonne l’organisation d’entretenir des liens financiers et moraux avec le Hamas et les Frères musulmans.
Le jeune islamiste a été repéré sur les réseaux sociaux.
Sahra Wagenknecht a qualifié la réprobation mollassonne de l’attentat de « désarroi ritualisé ».
45.000 membres des forces de l’ordre ont pour mission de sécuriser cet événement qui concerne divers sites en France.
Hafiz Chems-Eddine a raison, la liberté d’expression est cruciale. Mais alors, cela vaut aussi pour ses opposants !
« 120 attaques par jour est une donnée ancienne. Comment agir efficacement quand on organise sa cécité ? »
Une angoisse qui n’est rien d’autre que la preuve ultime d’une grande défaillance de l’État.
Dans cette affaire, tout y est : le commerce halal communautaire, le réfugié syrien gentiment accueilli par la France
L’attentat de Magdebourg accentue une prise de conscience croissante des insuffisances structurelles face aux migrants.
« Une fois encore la barbarie islamiste sème la terreur au cœur de l’Europe », réagit Marine Le Pen.
Le prédicateur islamiste Abdelhakim Sefrioui a déclaré qu’il faisait appel immédiatement.
De simples faits divers ? Il faut manquer de curiosité journalistique pour dénier à ces trois faits des traits communs.
Les services de sécurité sont confrontés à des acteurs de plus en plus jeunes et difficiles à détecter.
Le futur est incertain tant les acteurs sont nombreux, les intérêts différents, les retournements d’alliances possibles
Pour une partie de la gauche et de l’extrême gauche, aucun jour n’est sacré…
À cette heure, sur le compte officiel de LFI, aucune publication ne fait mention de cette nuit d’horreur.
Emmanuel Macron est pourtant bien placé pour savoir quelles sont les causes réelles du djihadisme.
Face aux questions, le gouvernement Starmer se drape dans une dignité de plus en plus hypothétique.
« Circulez, y a rien à voir. Sur l’affaire Paty, il y a un blocage de l’État, incapable de reconnaître ses torts. »
N’en déplaise à Antoine Léaument, ce ne sont pas les musulmans que les islamistes cherchent à tuer, en France…
Parce que c’est arrivé ; pour que cela n’arrive plus.
« 7 octobre : quelles conséquences en France ? » Lors de la conférence du CRSI, le constat dressé est sans appel.
L’avenir dépend d’une réponse politique adaptée et déterminée face à cette menace.
Le suspect a été arrêté le 4 septembre au Canada.
Cette inversion des rôles est désormais une figure médiatique imposée après chaque attentat islamiste.
Le monde politique reste tétanisé par la peur de se voir accuser d’islamophobie…
Khalid Cheikh Mohammed finira sa vie à Guantánamo.
Derrière cette tribune, un célèbre collectif est à la manœuvre : les Soulèvements de la Terre.
L’État soupçonne l’organisation d’entretenir des liens financiers et moraux avec le Hamas et les Frères musulmans.
Le jeune islamiste a été repéré sur les réseaux sociaux.
Sahra Wagenknecht a qualifié la réprobation mollassonne de l’attentat de « désarroi ritualisé ».
45.000 membres des forces de l’ordre ont pour mission de sécuriser cet événement qui concerne divers sites en France.
Hafiz Chems-Eddine a raison, la liberté d’expression est cruciale. Mais alors, cela vaut aussi pour ses opposants !
« 120 attaques par jour est une donnée ancienne. Comment agir efficacement quand on organise sa cécité ? »
Une angoisse qui n’est rien d’autre que la preuve ultime d’une grande défaillance de l’État.
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