Le juge administratif, saisi en référé, a rejeté, ce mardi, la requête de six associations (Juristes pour l'enfance, Pornostop, L'Enfance en partage, Innocence en danger, Face à l'inceste et Collectif féministe contre le viol), cautionnant donc le maintien de l'exposition publique au palais de Tokyo du tableau de Miriam Cahn Fuck Abstraction (qui représente une fellation imposée par un homme nu en érection à un enfant à genoux et ligoté). Maître Adeline Le Gouvello, avocat de l'association Juristes pour l'enfance, annonce que l'affaire va être immédiatement portée devant le Conseil d'État. Elle réagit au micro de Boulevard Voltaire.
28 mars 2023 à 18:31
On ne peut interdire à un « artiste » de créer une « oeuvre », ni apparemment, de l’exposer. Donc un seul mot d’ordre : Boycotter tout l’établissement qui l’expose, sans violence ni commentaires. On dit que l’indifférence est le plus grand des mépris. Macron nous en est l’exemple!
il n’y a pas à tergiverser : ça donne la grosse nausée, la seule solution est de décrocher cette toile qui ne peut, en aucun cas, avoir le titre d' »oeuvre », mon âme d’enfant, malgré mes 74 ans, vient de se manifester depuis les méandres de mon être profond, NON, ce n’est à exposer, ni aux yeux des enfants, ni aux yeux des adultes. Seuls les malades du genre Epstein ou autres criminels sexuels et ils sont nombreux, se réjouiront d’une telle nuisance. Peut-être mes propos sont-ils violents, mais ce tableau n’est même pas d’une bonne facture, il est IRREGARDABLE dans tous ses aspects.