Le terrorisme Médine-France : cette « French touch » que nul ne nous envie !
Le « jeune » Ali, mis en cause dans l’attaque au hachoir du vendredi 25 septembre ayant fait deux blessés graves, assume ses actes : il n’aurait « pas supporté » la republication des caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo.
Pourtant, nul, parmi les occupants du vieil immeuble de Pantin où il résidait, ne l’aurait cru capable de commettre cette agression sauvage ; c’est l’incrédulité : « C’est quelqu’un de très poli. Je le voyais souvent assis sur le palier avec son téléphone. Il m’aidait à porter mes courses » dit l’une. « C’est celui qui me dit toujours bonjour », dit une autre, ajoutant qu’il ne parle pas français. Le commerçant du rez-de-chaussée, lui aussi : « Le jeune en train de parler au téléphone. Il disait bonjour, c’est quelqu’un de poli, discret. » Et le propriétaire du bar-tabac qui lui vendait ses cigarettes : « Il était gentil. » Politesse, discrétion, gentillesse !
Qualités reconnues aussi aux frères Kouachi ; mais… par leurs veuves respectives. Ces derniers, comme Amedy Coulibaly, ont eu un autre parcours. Tous trois étaient des nationaux français par droit du sol ; Coulibaly passé de la délinquance à l’islam radical ; les Kouachi, acquis au salafisme après les échecs d’une jeunesse chaotique : un point commun, le rejet du modèle national français. Bref, des guerriers du djihad.
La dissimulation et la « gentillesse » sont-elles des postures recommandées par les prêcheurs du salafisme pour infiltrer dans nos métropoles les agents dormants de l’islamisme ?
Oui. Il s’agit de la pratique de la taqîya, fait de « voiler » ses positions, que les milieux islamistes recommandent comme une stratégie de conquête, en se basant littéralement sur ce verset du Coran : « Que les croyants ne prennent pas pour amis des incrédules […] à moins que ces gens-là ne constituent un danger pour vous » (Coran, sourate 3, verset 28). Une méthode que le juge antiterroriste Marc Trévidic tient des résidents français revenus du djihad : « En clair, avant de passer à l'action, il faut se camoufler au milieu des “mécréants” », commentait-t-il en 2013.
L’immigration sans frein imposée à l’Europe est devenue le cheval de Troie de l’islamisme, pour ces guerriers du djihad, pratiquement indétectables, venus via la Turquie, par la Grèce… Les filières – très lucratives pour les passeurs qui reçoivent, pour chaque postulant au passage, plusieurs milliers d’euros – profitent d’une législation française permissive, d’essence humanitariste, pour s’engouffrer dans la brèche. Nous n’avons pas affaire – pardonnez l’expression – à des enfants de chœur. Une intrusion bien huilée, se jouant des failles de notre politique d’asile inconséquente. L’excuse de mineur « isolé » est, dès lors, le sésame parfait pour pénétrer sur notre territoire en toute impunité, par le biais d’une prise en charge totale par l’ASE. Aux frais de la solidarité nationale !
Depuis sa ferme du Pakistan, son père s’est félicité que son fils ait « fait du bon travail ». Pourquoi le faux mineur « Ali » et ses deux frères étaient-ils donc en France, puisqu’ils n’étaient pas en danger chez eux ?
Près de 40.000 « mineurs non accompagnés » gagneraient, ainsi, notre pays chaque année, ce qui nous coûterait, au bas mot, deux milliards par an. Malgré son inscription au fichier des antécédents judiciaires, « Ali » a pu bénéficier, avec ses frères, de nos largesses coupables. On connaît la suite : le fourbe s'appelle, en réalité, Zaheer Hassan Mahmoud, né au Pakistan en 1995 et non en 2002 ! Passé entre les mailles de notre filet troué par négligence ou faute judiciaire : le juge des enfants du tribunal de Cergy-Pontoise aurait refusé de procéder à un test osseux permettant d’estimer son âge réel, entraînant de facto sa prise en charge administrative. Complaisance ? Négligence ? Tragique !
Par l’amateurisme de sa préparation, l’attaque d’Ali-Zaheer le fourbe semble prouver une absence de formation djihadiste. En revanche, il avoue suivre les préceptes du mollah Ilyas Qadri, chef d’un groupe religieux pakistanais qui serait… non violent !
Leur angélisme humanitariste fait de certains de nos juges et administrateurs de services sociaux les alliés irresponsables de l’ennemi qui nous méprise et ricane de nos naïvetés. C’est toute la table des lois migratoires qu’il faudra renverser pour sauver la nation !
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