La dissolution de la Jeune Garde, proposée à l’ordre du jour du Conseil des ministres
Mouvement violent, la Jeune garde a été cofondée par le député LFI Raphaël Arnault, son porte-parole jusqu'en 2022.
Le ministère de l’Intérieur a annoncé avoir engagé une procédure de dissolution administrative à l’encontre de trois groupements de fait : Lyon populaire, la Jeune Garde, liée au député LFI Raphaël Arnault (son cofondateur et porte-parole jusqu'en mai 2022) et Urgence Palestine, à l'extrême gauche. Cette décision s’appuie sur l’article L. 212-1 du Code de la sécurité intérieure, qui permet de dissoudre des organisations incitant à la haine ou à la violence.
Dans son communiqué, le ministère reproche à ces groupes de « provoquer à des agissements violents contre les personnes, provocations bien souvent suivies d'effets ». Lyon populaire est accusé de « faire l'apologie de la collaboration avec le nazisme » et de « provoquer à la haine, à la violence et à la discrimination envers les étrangers ». Quant à Urgence Palestine, il lui est reproché de soutenir le Hamas, de « faire l'apologie d'une organisation terroriste », « d'appeler à l’intifada sur le territoire national » et de « provoquer à la haine, à la violence ou à la discrimination contre les Juifs ».
Les représentants de ces groupes ont pu présenter leurs observations jusqu’au 9 mai. Selon le ministère, ces éléments « n'ont toutefois pas conduit à remettre en cause les faits très graves qui leur étaient reprochés ».
Le ministre de l’Intérieur a donc proposé l’inscription des décrets de dissolution à l’ordre du jour du Conseil des ministres. Il affirme que « l’État ne saurait tolérer que de tels groupements continuent à exalter impunément la haine et la violence » et réaffirme son intention d’user « de tous les moyens de droit à sa disposition pour garantir l’ordre public et la paix civile ».
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20 commentaires
Retaillau devrait également faire interdire SOS Méditerranée qui nous amène tout ces clandestins qui en grande majorité ne sont que des délinquants en puissance ; toutes ces interdictions doivent être assorti d’une interdiction de recréation sous un autre nom de la par des dirigeants actuel.
Quand a Lyon populaire c’est juste pour faire taire toutes critiques venant de la gauche et encore , ils elles vont s’en aucuns doutes possible crier aux scandales pour la dissolution de la Jeune Garde et d’urgence Palestine.
Je ne suis pas tout ça de près. Mais une chose est sûre. Un mouvement dit « de droite » est dissout incroyablement plus vite qu’un dit « de gauche ». Il faudrait plancher là dessus… demander à une Commission etc le pourquoi de ces comment ? ( enfin… on a compris en réalité )