Une fable morale et implacable où le moindre accord passé avec le diable implique de lourdes conséquences
Vide, insignifiante, frivole et médiocre, l’héroïne ne suscite aucune compassion
Une sympathique traversée pédestre, tirée d’un roman, à voir en famille.
Toutes les cases de la pensée unique sont cochées.
Des combats aussi époustouflants qu’irréalistes…
Plein de verve, le récit revient sur les jeunes années de la roturière et demi-mondaine Jeanne Gomard de Vaubernier.
Le film revient sur l’assassinat, en janvier 1999, du missionnaire australien Graham Staines et de ses deux fils.
Un cinéma de la délicatesse
Emin Alper pointe le népotisme, la corruption, la démagogie et les méthodes expéditives qui ont cours en Turquie
Un thriller à l’ancienne comme on en voit de moins en moins sur nos écrans
Coupée, la version française du film de Hashimoto consacré à l’artiste japonais aux 30.000 dessins déçoit.
Les hauts dignitaires nazis découvrent, imperturbables, le projet d’holocauste et ses modalités d’exécution
About Kim Sohee dresse un état des lieux alarmiste des sociétés modernes
Honnête dans son approche et magnifiquement photographié, le long-métrage aborde l’horreur de cette période.
Il est si rare de voir au cinéma un film faire l’éloge des valeurs verticales, du dévouement, du patriotisme.
Le film nous propose une immersion dans un autre dispositif social, la justice restaurative
C’est une histoire à dormir debout, et pourtant véridique.
Le récit d’origine se trouve affublé de séquences fictives inutiles, plus ou moins convenues.
Construit en six épisodes assez inégaux, le récit nous raconte sous six angles différents l’enlèvement et l’assassinat du président de la Démocratie chrétienne, Aldo Moro, en 1978, en Italie
Avec Emily, son premier long-métrage en tant que réalisatrice, la comédienne australienne Frances O’Connor s’inspire des éléments biographiques officiels de la vie d’Emily Brontë ainsi que de son roman Les Hauts de Hurlevent.
Les Petites Victoires se veut avant tout l’éloge de ces maires anonymes, courageux et persévérants, qui luttent contre les éléments pour maintenir coûte que coûte un cadre de vie décent à leurs administrés
L’esprit de droiture de la saga d’origine est complètement bafoué et Stallone doublement trahi.
The Fabelmans est un film parfaitement maîtrisé, savamment dosé entre humour et drame, et riche d’informations pour ceux qui s’intéressent à la trajectoire de Spielberg.
La clé de voute idéologique du film, qui explique la démarche initiale du cinéaste et les récompenses obtenues aux César, est à chercher ailleurs, dans une séquence dialoguée entre Yohan et une juge d’instruction où le policier, après trois ans d’enquête infructueuse, livre le fond de sa pensée : « Ce sont tous les hommes qui ont tué Clara […] C’est quelque chose qui cloche entre les hommes et les femmes. »
Le destin tragique de cette femme issue de la petite noblesse russe qui jeta son dévolu sur Tchaïkovski.
Lydia Tár a décidément tout pour être en phase avec son époque. Lesbienne, indépendante, charismatique et autoritaire, elle dirige en Allemagne un grand orchestre symphonique et multiplie les projets…
Bizarrement, notre presse de gauche a encensé le film sans s’apercevoir que son discours se situait aux antipodes des valeurs qu’elle défend habituellement.
L’article aviné d’Écran large, véritable pétage de câble qui n’a plus grand-chose à voir avec l’esprit critique ni avec le journalisme, nous donnerait presque envie d’encenser le film bêtement…
Une fable morale et implacable où le moindre accord passé avec le diable implique de lourdes conséquences
Vide, insignifiante, frivole et médiocre, l’héroïne ne suscite aucune compassion
Une sympathique traversée pédestre, tirée d’un roman, à voir en famille.
Toutes les cases de la pensée unique sont cochées.
Des combats aussi époustouflants qu’irréalistes…
Plein de verve, le récit revient sur les jeunes années de la roturière et demi-mondaine Jeanne Gomard de Vaubernier.
Le film revient sur l’assassinat, en janvier 1999, du missionnaire australien Graham Staines et de ses deux fils.
Un cinéma de la délicatesse
Emin Alper pointe le népotisme, la corruption, la démagogie et les méthodes expéditives qui ont cours en Turquie
Un thriller à l’ancienne comme on en voit de moins en moins sur nos écrans
Coupée, la version française du film de Hashimoto consacré à l’artiste japonais aux 30.000 dessins déçoit.
Les hauts dignitaires nazis découvrent, imperturbables, le projet d’holocauste et ses modalités d’exécution
About Kim Sohee dresse un état des lieux alarmiste des sociétés modernes
Honnête dans son approche et magnifiquement photographié, le long-métrage aborde l’horreur de cette période.
Il est si rare de voir au cinéma un film faire l’éloge des valeurs verticales, du dévouement, du patriotisme.
Le film nous propose une immersion dans un autre dispositif social, la justice restaurative
C’est une histoire à dormir debout, et pourtant véridique.
Le récit d’origine se trouve affublé de séquences fictives inutiles, plus ou moins convenues.
Construit en six épisodes assez inégaux, le récit nous raconte sous six angles différents l’enlèvement et l’assassinat du président de la Démocratie chrétienne, Aldo Moro, en 1978, en Italie
Avec Emily, son premier long-métrage en tant que réalisatrice, la comédienne australienne Frances O’Connor s’inspire des éléments biographiques officiels de la vie d’Emily Brontë ainsi que de son roman Les Hauts de Hurlevent.
Les Petites Victoires se veut avant tout l’éloge de ces maires anonymes, courageux et persévérants, qui luttent contre les éléments pour maintenir coûte que coûte un cadre de vie décent à leurs administrés
L’esprit de droiture de la saga d’origine est complètement bafoué et Stallone doublement trahi.
The Fabelmans est un film parfaitement maîtrisé, savamment dosé entre humour et drame, et riche d’informations pour ceux qui s’intéressent à la trajectoire de Spielberg.
La clé de voute idéologique du film, qui explique la démarche initiale du cinéaste et les récompenses obtenues aux César, est à chercher ailleurs, dans une séquence dialoguée entre Yohan et une juge d’instruction où le policier, après trois ans d’enquête infructueuse, livre le fond de sa pensée : « Ce sont tous les hommes qui ont tué Clara […] C’est quelque chose qui cloche entre les hommes et les femmes. »
Le destin tragique de cette femme issue de la petite noblesse russe qui jeta son dévolu sur Tchaïkovski.
Lydia Tár a décidément tout pour être en phase avec son époque. Lesbienne, indépendante, charismatique et autoritaire, elle dirige en Allemagne un grand orchestre symphonique et multiplie les projets…
Bizarrement, notre presse de gauche a encensé le film sans s’apercevoir que son discours se situait aux antipodes des valeurs qu’elle défend habituellement.
L’article aviné d’Écran large, véritable pétage de câble qui n’a plus grand-chose à voir avec l’esprit critique ni avec le journalisme, nous donnerait presque envie d’encenser le film bêtement…
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