Tout se passe comme si on voulait persuader les Français que l’élection de Marine Le Pen équivaudrait à un retour à la France pétainiste.
Ceux qui tentent de déconsidérer ce courant politique en le qualifiant d’extrême droite risquent fort de trouver de moins en moins d’écho.
« Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es », dit l’adage. Emmanuel Macron devrait surveiller ses fréquentations.
Mieux vaudrait enseigner aux élèves, le plus objectivement possible, tous les faits historiques…
Il convient de réfléchir aux différences entre les conceptions de Marine Le Pen et d’Emmanuel Macron sur l’essentiel : l’avenir de la France.
Il faut se méfier des projets qui reviendraient à normaliser les enfants selon les besoins supposés de la société.
Cette tragédie prend d’autant plus de retentissement qu’elle s’est produite à deux jours des élections présidentielles.
Fin 1944, des accusations pour crimes de guerre avaient été préparées contre Hitler et ses principaux collaborateurs…
Le Parti socialiste ne sait plus à quel saint se vouer.
Après être resté longtemps au creux de la vague, il commence, semble-t-il, à remonter la pente et prendre son élan.
Si ce débat revient sur la table, à huit jours du scrutin, c’est principalement pour des raisons électorales.
Il est étonnant que ce professeur soit resté en fonction si longtemps.
« Peut bien faire, mais a gâché ses talents », telle est l’appréciation qui pourrait vous caractériser à l’issue de ce quinquennat.
Il le regrette, mais se pliera à la loi de non-cumul.
Dimanche, il a choisi d’être au premier rang du meeting de François Fillon, Porte de Versailles.
On jette, après coup, le discrédit sur les propos tenus librement par cette enseignante au motif de ses affinités politiques…
En faisant de la politique un spectacle ou un concours du mieux-disant, on incite à la simplification, à la démagogie, qui corrompent la démocratie.
Ce fut un spectacle bien long, avec quelques répliques originales dans un texte connu.
Tout se passe comme si on voulait persuader les Français que l’élection de Marine Le Pen équivaudrait à un retour à la France pétainiste.
Ceux qui tentent de déconsidérer ce courant politique en le qualifiant d’extrême droite risquent fort de trouver de moins en moins d’écho.
« Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es », dit l’adage. Emmanuel Macron devrait surveiller ses fréquentations.
Mieux vaudrait enseigner aux élèves, le plus objectivement possible, tous les faits historiques…
Il convient de réfléchir aux différences entre les conceptions de Marine Le Pen et d’Emmanuel Macron sur l’essentiel : l’avenir de la France.
Il faut se méfier des projets qui reviendraient à normaliser les enfants selon les besoins supposés de la société.
Cette tragédie prend d’autant plus de retentissement qu’elle s’est produite à deux jours des élections présidentielles.
Fin 1944, des accusations pour crimes de guerre avaient été préparées contre Hitler et ses principaux collaborateurs…
Le Parti socialiste ne sait plus à quel saint se vouer.
Après être resté longtemps au creux de la vague, il commence, semble-t-il, à remonter la pente et prendre son élan.
Si ce débat revient sur la table, à huit jours du scrutin, c’est principalement pour des raisons électorales.
Il est étonnant que ce professeur soit resté en fonction si longtemps.
« Peut bien faire, mais a gâché ses talents », telle est l’appréciation qui pourrait vous caractériser à l’issue de ce quinquennat.
Il le regrette, mais se pliera à la loi de non-cumul.
Dimanche, il a choisi d’être au premier rang du meeting de François Fillon, Porte de Versailles.
On jette, après coup, le discrédit sur les propos tenus librement par cette enseignante au motif de ses affinités politiques…
En faisant de la politique un spectacle ou un concours du mieux-disant, on incite à la simplification, à la démagogie, qui corrompent la démocratie.
Ce fut un spectacle bien long, avec quelques répliques originales dans un texte connu.