In fine, c'est bien le contribuable qui paiera... Ça, on l'avait bien intégré.
Conscient de sa vacuité ? Déjà en vacances...
On comprend mieux, alors, l’idéologie qui guide, au fond, la politique d’immigration de l’Union européenne.
Si on additionne les chiffres lâchés par Élisabeth Borne dans son ode aux ruralités, on compte... 217 petits millions.
Combien de morts, durant ces émeutes ? Zéro !
Où faut-il habiter, maintenant, pour être épargné par les « émeutes » ?
Deux vies basculent, l'une dans la mort, l'autre dans l'enfer.
La société est tout autant victime que les victimes elles-mêmes.
Ce qui frappe, en écoutant Charles Michel, c’est que l’immigration, au fond, semble être une fatalité.
On ne sait pas jusqu’où cela peut aller pour sauver la planète.
Et avec le réchauffement de la planète, l’abaya pourrait devenir le nouveau costume de tous les jours, par chez nous.
Ces « migrants » nichés sur l’arbre généalogique de Louis XIV appartenaient tous à la chrétienté...
Ça vaut bien le ruban rouge. Tout autant que d’avoir été champion du monde de football.
L'audition de M. Sifaoui fut flamboyante ou, plutôt, pour être exact, enflammée...
« L’essentiel des immigrés, aujourd’hui, sont des universitaires. »
Loin de Carole Delga l'idée de faire de la discrimination. Enfin, pas sur ce terrain...
Comme si approuver ou désapprouver des comptes ne traduisait pas un accord ou désaccord politique !
La guest-star de ce bal fut bien évidemment Grégory Doucet.
S’ils pouvaient le traîner sur la claie...
De qui émane cet appel à un « plan social » radical dans la Marine nationale ?
Les poignets mousquetaire sont-ils de droite ?
Prochaine étape : on se réjouira que l’on ait pu conserver l’église au milieu du village en la transformant en mosquée.
Visiblement, Emmanuel Macron a bien aimé son escale en Mongolie.
Et dire qu’Emmanuel Macron a osé dire qu’on légiférait trop, dans ce pays.
Si Léaument aime bien Robespierre, on est en droit de ne pas spécialement partager cet amour.
C’est ce qu’on doit appeler l’État stratège.
C’est vrai, ça, on passe vraiment trop par la loi, dans ce pays.
De ce côté-ci de la Manche, le déplacement du moindre ministricule nécessite le déploiement de tout un arsenal.