Le syndrome de Paris est comme le syndrome de Stockholm : une forme de connivence
Serge Federbusch analyse les scores très élevés d'Emmanuel Macron - et les scores très mauvais de Marine Le Pen - à Paris. Il y a bien sûr, selon lui, le vote des CSP++ qui espèrent encore tirer leur épingle du jeu de la mondialisation joint à celui des logements dits sociaux - en fait clientélistes - mais il y a aussi une peur panique après les attentats qui s'apparente à une démission.
Avant que la droite puisse reprendre la capitale, il va passer beaucoup de temps, d'autant qu'en appelant à voter Macron au 2e tour, la droite - qui n'a même pas le sens tactique d'un Mélenchon - favorise la dynamique En Marche ! aux législatives.
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Serge Federbusch
Homme politique - Élu conseiller du 10e arrondissement (2008), fondateur d'Aimer Paris, candidat à l'élection municipale de 2020
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