Pierre de Villiers
En cas de « mobilisation générale », comme en Russie ou en Ukraine, combien de citoyens ordinaires seraient présents sous les drapeaux ?
Face à la grogne, le général de Villiers, costume-cravate, sobre, monte au créneau…
C’est la question que l’on doit se poser anxieusement dans bien des chaumières, en ce moment.
Si la république allait autant de soi, pourquoi, à chaque crise traversée par cette dernière, la figure d’un chef militaire s’est systématiquement imposée en dernier recours ?
Effectivement, l’organisation d’une campagne électorale du niveau présidentiel n’est pas une simple affaire et encore moins une balade champêtre.
En cas de « mobilisation générale », comme en Russie ou en Ukraine, combien de citoyens ordinaires seraient présents sous les drapeaux ?
Face à la grogne, le général de Villiers, costume-cravate, sobre, monte au créneau…
C’est la question que l’on doit se poser anxieusement dans bien des chaumières, en ce moment.
Si la république allait autant de soi, pourquoi, à chaque crise traversée par cette dernière, la figure d’un chef militaire s’est systématiquement imposée en dernier recours ?
Effectivement, l’organisation d’une campagne électorale du niveau présidentiel n’est pas une simple affaire et encore moins une balade champêtre.