Libye
Paradis, non point des djihadistes, qui y demeurent minoritaires et fort mal vus et guère mieux traités, mais surtout des trafiquants d’êtres humains ; d’où l’actuelle déferlante migratoire qu’on sait, naguère jugulée par un Kadhafi faisant office de garde-frontière.
L’économie stagne et les crises humanitaires s’aggravent de jour en jour. Beaucoup d’habitants décident de fuir la misère en quittant le pays, pourtant autrefois le plus riche de la région.
De l’ex-Yougoslavie au Moyen-Orient en passant par le Rwanda, les méandres diplomatiques du « machin » qu’on appelle l’ONU n’ont obtenu que deux résultats : soit le chaos permanent, soit la victoire de l’un des adversaires, et pas nécessairement le meilleur.
Pour l’Europe, le maréchal Haftar est donc l’homme du moindre mal qui pourra monnayer l’arrêt de l’immigration sauvage.
Paradis, non point des djihadistes, qui y demeurent minoritaires et fort mal vus et guère mieux traités, mais surtout des trafiquants d’êtres humains ; d’où l’actuelle déferlante migratoire qu’on sait, naguère jugulée par un Kadhafi faisant office de garde-frontière.
L’économie stagne et les crises humanitaires s’aggravent de jour en jour. Beaucoup d’habitants décident de fuir la misère en quittant le pays, pourtant autrefois le plus riche de la région.
De l’ex-Yougoslavie au Moyen-Orient en passant par le Rwanda, les méandres diplomatiques du « machin » qu’on appelle l’ONU n’ont obtenu que deux résultats : soit le chaos permanent, soit la victoire de l’un des adversaires, et pas nécessairement le meilleur.
Pour l’Europe, le maréchal Haftar est donc l’homme du moindre mal qui pourra monnayer l’arrêt de l’immigration sauvage.
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