Émeutes en banlieue
Cette semaine a été marquée par des nuits d’émeutes urbaines à Limoges, à la suite d’une intervention de pompiers. Des pompiers agressés, tout comme les
Au micro de Boulevard Voltaire, Nicolas Tardy-Joubert, élu en région parisienne, revient sur les récentes émeutes dans les les banlieues.
Après plusieurs nuits d’émeutes, malgré le confinement, en banlieue parisienne mais aussi en province, Alexis Poulin analyse la gestion du maintien de l’ordre dans ces zones
D’ailleurs, l’ordre règne. La preuve ? Il y a deux semaines, on avait franchi le demi-million de procès-verbaux pour non-respect du confinement.
Elle ne peut provenir que de la dérive gauchiste du mouvement contestataire qui fait de la police l’ennemie des manifestants quand c’est le gouvernement qui devrait être l’unique cible.
Lorsque les « violences inacceptables » ont commencé en France, je n’ai vu personne venir nous voir pour dénoncer ces violences.
On apprend ainsi que sept jeunes ont été interpellés (dont trois étaient déjà en prison !) et cinq déférés mercredi soir devant le tribunal de Créteil pour avoir organisé le réveillon très festif de Limeil-Brévannes.
Cette semaine a été marquée par des nuits d’émeutes urbaines à Limoges, à la suite d’une intervention de pompiers. Des pompiers agressés, tout comme les
Au micro de Boulevard Voltaire, Nicolas Tardy-Joubert, élu en région parisienne, revient sur les récentes émeutes dans les les banlieues.
Après plusieurs nuits d’émeutes, malgré le confinement, en banlieue parisienne mais aussi en province, Alexis Poulin analyse la gestion du maintien de l’ordre dans ces zones
D’ailleurs, l’ordre règne. La preuve ? Il y a deux semaines, on avait franchi le demi-million de procès-verbaux pour non-respect du confinement.
Elle ne peut provenir que de la dérive gauchiste du mouvement contestataire qui fait de la police l’ennemie des manifestants quand c’est le gouvernement qui devrait être l’unique cible.
Lorsque les « violences inacceptables » ont commencé en France, je n’ai vu personne venir nous voir pour dénoncer ces violences.
On apprend ainsi que sept jeunes ont été interpellés (dont trois étaient déjà en prison !) et cinq déférés mercredi soir devant le tribunal de Créteil pour avoir organisé le réveillon très festif de Limeil-Brévannes.