Souvenez-vous, une jeune fille était victime d’un viol collectif dans la ville d’Évry, fief de Manuel Valls, en 2014. À l’époque, ce cas avait suscité une vive émotion en raison de son hyper-violence, mais aussi des motivations racistes des agresseurs. Une indignation qui s’était malheureusement cantonnée aux réseaux sociaux, aucun des acteurs du gouvernement d’alors n’ayant daigné réagir. Il ne fallait peut-être pas « faire le jeu du Front national »…

Dans la soirée du 30 mars 2014, une jeune fille de 18 ans descendait du RER en gare d’Évry. Quatre racailles, toutes mineures, se sont jetées sur elle dans la rue, l’emmenant de force dans un petit parc à proximité. Après lui avoir dérobé toutes ses possessions, ils l’ont déshabillée puis violée chacun à tour de rôle pendant plus de deux heures. Sans égard pour une victime traumatisée à vie, ils l’ont abandonnée à son sort à demi-inconsciente. Qui étaient les monstres ? Trois frères turcs et un Marocain, âgés de 13 à 17 ans. L’aîné, meneur naturel du groupe, avait été remis en liberté six mois plus tôt après avoir purgé les deux tiers d’une peine d’emprisonnement relative au viol du fils d’un sous-officier de gendarmerie, âgé de 13 ans, à l’aide d’un embout d’extincteur ! Les autres agresseurs avaient tous déjà été précédemment interpellés.

Un drame qui aurait donc pu être évité si nous avions une justice moins à l’écoute des voyous et plus concernée par la sécurité des honnêtes gens. Les fauves ne doivent pas être laissés en liberté car ils finissent toujours par tuer ou blesser. N’ayant aucun remords, ces psychopathes ont expliqué, lors des auditions, qu’ils avaient violé la jeune fille en raison de ses origines, les Français étant tous "des fils de pute". Pourquoi une telle haine pour le pays qui leur a offert le gîte, l’accès à l’école publique et quantité d’aides ? Pourquoi une telle haine contre les Français qui n’ont rien fait d’autre que les accueillir ? Notre pays héberge une population qui refuse absolument de s’assimiler, de s’intégrer et même de respecter les lois, insensible aux sanctions.

À l’époque, le procureur d’Évry avait choisi d’indiquer que l’agression n’avait pas été motivée par le racisme, alors même que les violeurs auraient affirmé aux enquêteurs qu’ils n’auraient pas violé une jeune fille turque. En effet, les parents n’avaient pas voulu dévoiler l’intégralité des actes. "C'est à notre demande que les faits n'ont pas été révélés. Nous voulions protéger notre fille et, surtout, éviter toute récupération politique", déclarait le père de la victime au Parisien en octobre 2016. Si la famille a le droit le plus absolu de vouloir protéger l’un de ses membres, il faut néanmoins médiatiser cet élément, tant il est exemplaire d’un racisme anti-blanc qui est régulièrement occulté. L’an passé, Marie Kirschen écrivait ainsi sur BuzzFeed : "Peut-on réellement mettre sur le même plan le racisme contre les personnes non-blanches et les attaques dont peuvent être victimes les personnes blanches ? Pas vraiment."

À l’occasion du procès en appel du plus âgé des agresseurs, se tenant actuellement au tribunal de Melun, il convient de prendre conscience du danger posé par une jeunesse immigrée de plus en plus radicalisée, violente et sortie de la France.

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02 juin 2017 à 14:15

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