Musique
On notera que le légendaire guitariste est, pour le moment, la seule star d’envergure à avoir dénoncé la mise en cage du peuple en général et des musiciens en particulier…
En ce début des années 60, la France se lançait dans la collection des accents du monde.
Puisse Anne-Sylvestre retrouver son petit-fils dans cette cathédrale éternelle qu’on appelle le Ciel, pour qu’on l’y entende sonner toujours.
« Les cantiques, ça n’vaut pas Claude Françoué », chantait la bonne du curé. Alors, le masque qui rit est de rigueur aujourd’hui.
Dans un semblable registre, Tino Rossi a repris L’Ave Maria de Schubert, avec un certain talent, voir un talent certain, pour qui apprécie le registre pâtissier collant à la fois aux dents et aux oreilles. Mais comme seule compte l’intention, respect et absolution.
Intervenant, tel Démosthène sur l’agora antique, il déniera à Bruxelles « le droit de mutiler et de détrousser à son gré tous les Grecs »…
Ses morceaux les plus beaux ont parfois été écrits pour des films qui ne sont pas passés à la postérité.
Célébré de son vivant, il devrait l’être plus encore une fois venu le temps du repos éternel, comme souvent les très grands.
Que ne pourrait-on encore reprocher à l’homme blanc que les minorités dites opprimées n’aient pas encore incriminé ?
Le spectateur passe un bon moment et c’est l’essentiel.
Trop de Blancs et d’Asiatiques dans les concerts de musique classique, pas assez de représentants de la diversité dans les orchestres. C’est le nouveau combat des militants pro-noirs.
Une fois de plus, ce n’est pas une page qui se tourne, mais un livre qui se ferme…
On peut juger ou non, mais qui sommes-nous pour le faire, comme dirait le pape François ? En attendant, qu’elle était bonne, sa musique…
Christophe vient de nous quitter, ce 16 avril. Le confinement n’avait pas dû changer plus que ça ses habitudes, lui qui, depuis des décennies, vivait précisément confiné chez lui, à Paris, dans le quartier de Montparnasse…
L’oeuvre des Beatles est une formidable coulée qui a des faiblesses – parfois délibérées : il faut plaire à ces minettes enthousiastes et hystériques – et des pics incontestables.
45 artistes reprennent en chœur, depuis leur lieu de confinement à travers la France et même d’Italie, la belle chanson de Bourvil. Pour nous évader
Qui d’autre que lui pour s’époumoner aux côtés d’un Dick Rivers, d’un Nino Ferrer, tout en donnant ses lettres de noblesse à ce que l’on n’appelait pas encore la « world music » ?
Peu de certitudes pour notre avenir, sauf celle-ci : quand nous aurons enfin tordu le coup à ce virus sanitaire, il en restera encore bien d’autres à combattre, idéologiques et délétères…
La haine mortifère exprimée par le rap « made in France » n’est pas de France.
Sans doute un peu susceptible, voire un peu « premier degré », Pascal Praud a mal compris et s’est froissé, obligeant le rappeur Sneazzy à se fendre d’une explication de texte…
Ces « réformes progressistes » seraient-elles de la poudre aux yeux pour berner les Occidentaux ?
Rebelle utopiste, mais à cent lieues des bobos de Saint-Germain-des-Prés…
Qu’on se le dise à la suite de Callum John Blackmore, Jean-Philippe Rameau, cette figure rayonnante du classicisme qui ravit nos oreilles, était un salaud de la pire espèce…
Nous avons frisé l’incident diplomatique entre le Mali et les États-Unis. En cause, le zèle des agents de sécurité portuaires (TSA) de l’aéroport JFK, à New York, qui auraient mis en pièces la kora du musicien malien Ballaké Sissoko.
J’ai beaucoup d’admiration pour ce groupe de jeunes qui part aider ces chrétiens en Syrie, en Irak ou au Liban.
Plus précisément, Emmanuel Macron aurait dû dire, s’il avait daigné se contredire sur le fond : il n’existe plus de culture française…
Il s’agit de sauver le cœur battant de la France : la maîtrise de Notre-Dame de Paris.
All I Want for Christmas Is You, nous chante inlassablement Mariah Carey depuis 25 ans…
On notera que le légendaire guitariste est, pour le moment, la seule star d’envergure à avoir dénoncé la mise en cage du peuple en général et des musiciens en particulier…
En ce début des années 60, la France se lançait dans la collection des accents du monde.
Puisse Anne-Sylvestre retrouver son petit-fils dans cette cathédrale éternelle qu’on appelle le Ciel, pour qu’on l’y entende sonner toujours.
« Les cantiques, ça n’vaut pas Claude Françoué », chantait la bonne du curé. Alors, le masque qui rit est de rigueur aujourd’hui.
Dans un semblable registre, Tino Rossi a repris L’Ave Maria de Schubert, avec un certain talent, voir un talent certain, pour qui apprécie le registre pâtissier collant à la fois aux dents et aux oreilles. Mais comme seule compte l’intention, respect et absolution.
Intervenant, tel Démosthène sur l’agora antique, il déniera à Bruxelles « le droit de mutiler et de détrousser à son gré tous les Grecs »…
Ses morceaux les plus beaux ont parfois été écrits pour des films qui ne sont pas passés à la postérité.
Célébré de son vivant, il devrait l’être plus encore une fois venu le temps du repos éternel, comme souvent les très grands.
Que ne pourrait-on encore reprocher à l’homme blanc que les minorités dites opprimées n’aient pas encore incriminé ?
Le spectateur passe un bon moment et c’est l’essentiel.
Trop de Blancs et d’Asiatiques dans les concerts de musique classique, pas assez de représentants de la diversité dans les orchestres. C’est le nouveau combat des militants pro-noirs.
Une fois de plus, ce n’est pas une page qui se tourne, mais un livre qui se ferme…
On peut juger ou non, mais qui sommes-nous pour le faire, comme dirait le pape François ? En attendant, qu’elle était bonne, sa musique…
Christophe vient de nous quitter, ce 16 avril. Le confinement n’avait pas dû changer plus que ça ses habitudes, lui qui, depuis des décennies, vivait précisément confiné chez lui, à Paris, dans le quartier de Montparnasse…
L’oeuvre des Beatles est une formidable coulée qui a des faiblesses – parfois délibérées : il faut plaire à ces minettes enthousiastes et hystériques – et des pics incontestables.
45 artistes reprennent en chœur, depuis leur lieu de confinement à travers la France et même d’Italie, la belle chanson de Bourvil. Pour nous évader
Qui d’autre que lui pour s’époumoner aux côtés d’un Dick Rivers, d’un Nino Ferrer, tout en donnant ses lettres de noblesse à ce que l’on n’appelait pas encore la « world music » ?
Peu de certitudes pour notre avenir, sauf celle-ci : quand nous aurons enfin tordu le coup à ce virus sanitaire, il en restera encore bien d’autres à combattre, idéologiques et délétères…
La haine mortifère exprimée par le rap « made in France » n’est pas de France.
Sans doute un peu susceptible, voire un peu « premier degré », Pascal Praud a mal compris et s’est froissé, obligeant le rappeur Sneazzy à se fendre d’une explication de texte…
Ces « réformes progressistes » seraient-elles de la poudre aux yeux pour berner les Occidentaux ?
Rebelle utopiste, mais à cent lieues des bobos de Saint-Germain-des-Prés…
Qu’on se le dise à la suite de Callum John Blackmore, Jean-Philippe Rameau, cette figure rayonnante du classicisme qui ravit nos oreilles, était un salaud de la pire espèce…
Nous avons frisé l’incident diplomatique entre le Mali et les États-Unis. En cause, le zèle des agents de sécurité portuaires (TSA) de l’aéroport JFK, à New York, qui auraient mis en pièces la kora du musicien malien Ballaké Sissoko.
J’ai beaucoup d’admiration pour ce groupe de jeunes qui part aider ces chrétiens en Syrie, en Irak ou au Liban.
Plus précisément, Emmanuel Macron aurait dû dire, s’il avait daigné se contredire sur le fond : il n’existe plus de culture française…
Il s’agit de sauver le cœur battant de la France : la maîtrise de Notre-Dame de Paris.
All I Want for Christmas Is You, nous chante inlassablement Mariah Carey depuis 25 ans…
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