Musique
Des preuves ? Eh bien…Maalouf hésite…eh bien, les percussions, le marimba dans les orchestres…voilà voilà…
Si elle ne semble pas renouveler les mêmes outrances pour cette édition 2022, ce n’est pas pour autant que la présidence abandonne le politiquement correct.
Au-delà de la violence du cliché, il y a évidemment les centaines de milliers de jeunes qui suivent ces « artistes » et à qui on donne insidieusement l’idée que tuer des policiers, c’est cool !
L’occasion de se rappeler qu’un demi-siècle durant, les musiciens noirs d’Amérique ont su tutoyer les anges…
Voilà de la belle ouvrage. À l’ancienne. Au-delà des modes, donc. La recette des classiques ? Oui.
Évoquant les textes de son nouvel album, Médine tweetait, le 20 avril dernier : « Le prochain, il va piquer un peu. »
Je fais remarquer au lecteur que commence ici un récit où le poète opère une étrange inversion des causes et des effets… Car les banlieues, c’est que d’l’amour !
Un condensé de cette culture de haine et de violence qui irrigue nos territoires perdus depuis des décennies avec la complicité des élites libérales libertaires et de la Justice qui n’intervient pas au nom de la « liberté d’expression ».
Le 23 janvier, il remontera sur scène, au Casino de Paris. Droit dans ses bottes, aussi clivant que touchant, Jean-Pax Méfret échappe aux catégorisations faciles.
Camille Saint-Saëns est probablement la preuve en musique, en cette année du centenaire de sa disparition, que, contrairement au progressisme, la tradition est le seul progrès qui réussit encore.
Le grand coup de balai « wokiste » se poursuit chez les cultureux…
En se moquant de Marine Le Pen qui serait, selon lui, la candidate des vieux, Orelsan semble omettre que le Rassemblement national était encore, en avril dernier, le premier parti politique chez les 25/35 ans…
Ce qui devrait nous inquiéter encore, c’est qu’il se trouve des journalistes, des responsables de rédaction qui sont capables de venir défendre cette décision et justifier l’idéologie qui la porte.
Bien sûr, ce mardi 14 septembre devait être jour de fête pour les fans de Johnny, parti rejoindre le paradis des rockers, un funeste 5
Chaque fois que des rappeurs invectivent la France ou la police, ils vont se justifier avec Brel ou Brassens. Qu’en est-il vraiment ? Réponses avec
Il n’était pas manchot devant une batterie réduite à sa plus simple expression : une grosse caisse et une claire, une charleston et deux cymbales. Ça lui suffisait pour faire le job.
Dans ce titre chanté en duo avec Van Morrison, « The Rebels », les deux compères en appellent à l’insolence d’autrefois.
Je fais partie des lecteurs tardifs d’André Tubeuf. Il est entré par effraction dans mon petit panthéon, un jour de 2008, avec le Jésus que
Le rappeur Médine met en cause un tract diffusé à l’occasion de la campagne des élections régionales dans lequel Nicolas Bay écrit que le rappeur est « proche de la mouvance islamiste des Frères musulmans ».
La Hongrie a décidé, en 2019, de ne plus participer à cet événement.
Curieusement, les paroles de la chanson n’ont pas été prises en flagrant délit de complotisme… Peut-être que l’engagement à gauche de son créateur ou à sa médiatisation d’avant Covid a joué là un rôle déterminant…
En espérant toutefois pour lui que, là-haut, il n’y ait pas pénurie de paillettes. Mais on sait la maison bien tenue.
Céline, dans Voyage au bout de la nuit, caractérisait la dépression comme le moment où l’on n’a « plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie ». Repensons-y avant le couvre-feu.
Encore une fois, pléthore de raisons de se débarrasser de sa télévision…
Après, libre au lecteur de préférer Maître Gims qui, lui, n’a guère fait de mal à personne, hormis nos oreilles.
C’est l’inconscient collectif ou votre petit inconscient à vous perso qui rend les hommes blancs responsables de tous les maux de la Terre ?
S’il y en avait bien un qui incarnait le jazz à la française, si ce n’est le jazz français tout court, c’était lui : Claude Bolling, parti à quatre-vingt-dix ans, ce 30 décembre dernier.
Alexander Neef a beau démentir la disparition de certaines œuvres, le processus est déjà lancé depuis plusieurs années…
Des preuves ? Eh bien…Maalouf hésite…eh bien, les percussions, le marimba dans les orchestres…voilà voilà…
Si elle ne semble pas renouveler les mêmes outrances pour cette édition 2022, ce n’est pas pour autant que la présidence abandonne le politiquement correct.
Au-delà de la violence du cliché, il y a évidemment les centaines de milliers de jeunes qui suivent ces « artistes » et à qui on donne insidieusement l’idée que tuer des policiers, c’est cool !
L’occasion de se rappeler qu’un demi-siècle durant, les musiciens noirs d’Amérique ont su tutoyer les anges…
Voilà de la belle ouvrage. À l’ancienne. Au-delà des modes, donc. La recette des classiques ? Oui.
Évoquant les textes de son nouvel album, Médine tweetait, le 20 avril dernier : « Le prochain, il va piquer un peu. »
Je fais remarquer au lecteur que commence ici un récit où le poète opère une étrange inversion des causes et des effets… Car les banlieues, c’est que d’l’amour !
Un condensé de cette culture de haine et de violence qui irrigue nos territoires perdus depuis des décennies avec la complicité des élites libérales libertaires et de la Justice qui n’intervient pas au nom de la « liberté d’expression ».
Le 23 janvier, il remontera sur scène, au Casino de Paris. Droit dans ses bottes, aussi clivant que touchant, Jean-Pax Méfret échappe aux catégorisations faciles.
Camille Saint-Saëns est probablement la preuve en musique, en cette année du centenaire de sa disparition, que, contrairement au progressisme, la tradition est le seul progrès qui réussit encore.
Le grand coup de balai « wokiste » se poursuit chez les cultureux…
En se moquant de Marine Le Pen qui serait, selon lui, la candidate des vieux, Orelsan semble omettre que le Rassemblement national était encore, en avril dernier, le premier parti politique chez les 25/35 ans…
Ce qui devrait nous inquiéter encore, c’est qu’il se trouve des journalistes, des responsables de rédaction qui sont capables de venir défendre cette décision et justifier l’idéologie qui la porte.
Bien sûr, ce mardi 14 septembre devait être jour de fête pour les fans de Johnny, parti rejoindre le paradis des rockers, un funeste 5
Chaque fois que des rappeurs invectivent la France ou la police, ils vont se justifier avec Brel ou Brassens. Qu’en est-il vraiment ? Réponses avec
Il n’était pas manchot devant une batterie réduite à sa plus simple expression : une grosse caisse et une claire, une charleston et deux cymbales. Ça lui suffisait pour faire le job.
Dans ce titre chanté en duo avec Van Morrison, « The Rebels », les deux compères en appellent à l’insolence d’autrefois.
Je fais partie des lecteurs tardifs d’André Tubeuf. Il est entré par effraction dans mon petit panthéon, un jour de 2008, avec le Jésus que
Le rappeur Médine met en cause un tract diffusé à l’occasion de la campagne des élections régionales dans lequel Nicolas Bay écrit que le rappeur est « proche de la mouvance islamiste des Frères musulmans ».
La Hongrie a décidé, en 2019, de ne plus participer à cet événement.
Curieusement, les paroles de la chanson n’ont pas été prises en flagrant délit de complotisme… Peut-être que l’engagement à gauche de son créateur ou à sa médiatisation d’avant Covid a joué là un rôle déterminant…
En espérant toutefois pour lui que, là-haut, il n’y ait pas pénurie de paillettes. Mais on sait la maison bien tenue.
Céline, dans Voyage au bout de la nuit, caractérisait la dépression comme le moment où l’on n’a « plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie ». Repensons-y avant le couvre-feu.
Encore une fois, pléthore de raisons de se débarrasser de sa télévision…
Après, libre au lecteur de préférer Maître Gims qui, lui, n’a guère fait de mal à personne, hormis nos oreilles.
C’est l’inconscient collectif ou votre petit inconscient à vous perso qui rend les hommes blancs responsables de tous les maux de la Terre ?
S’il y en avait bien un qui incarnait le jazz à la française, si ce n’est le jazz français tout court, c’était lui : Claude Bolling, parti à quatre-vingt-dix ans, ce 30 décembre dernier.
Alexander Neef a beau démentir la disparition de certaines œuvres, le processus est déjà lancé depuis plusieurs années…