Et maintenant : soumission ou sécession ?
Encore une élection de perdue. Une de plus… après tant d’autres !
Quand prendrons-nous conscience que le jeu électoral est arrangé pour que le Système l’emporte toujours ? Combien de défaites nous faut-il encore endurer avant de le « comprendre » ? Nous sommes des ânes qui poursuivons une carotte électorale qui recule au fur et à mesure que nous avançons. Le problème, c’est que le temps ne travaille pas pour nous. La composition ethnique du corps électoral et de la population change à grande vitesse. Selon toute vraisemblance, les Français de souche européenne seront démographiquement minoritaires sur leurs terres ancestrales entre 2040 (selon le géopolitologue Aymeric Chauprade, Chronique du choc des civilisations, Dargaud, 2009, page 58) et 2050 (selon le démographe Jean-Paul Gourévitch, Les Africains de France, Acropole 2009). 2040 : c’est dans 23 ans seulement ! Dans une telle situation, pensez-vous que se mobiliser pour des législatives (que nous perdrons), puis encore pour des présidentielles (que nous perdrons aussi), puis à nouveau pour des législatives (que nous perdrons également) soit la meilleure chose à faire pour assurer un avenir à nos enfants ?
Nous sommes des ânes car nous voulons ignorer que la carotte est au bout d’un bâton que tient le régime politique en place sur notre dos. Plutôt que d’aller docilement où la République nous mène avec sa carotte électorale et son bâton judiciaire, c’est-à-dire droit vers un Grand Remplacement conforme à son idéologie profonde, ne serait-il pas plus profitable de se décharger du poids inutile que nous portons ?
Car en quoi la République nous est-elle utile ? N’est-ce pas elle qui nous a noyés dans une soupe multiculturelle qu’elle touille dans le « creuset » fabriqué selon ses « principes » et ses « valeurs » ? En quoi ce qui tue peut-il être utile à ce qui est tué ?
A contrario, combien de temps durerait la paix sociale et le mythe du « vivre ensemble » si les autochtones enfin rassemblés refusaient de payer leurs impôts ou de se rendre à leur travail ?
Il est stérile de dépenser son énergie à viser un pouvoir que nous n’atteindrons jamais. Mieux vaut, comme Noé qui construisit une arche en attendant le déluge, recréer un peuple dans l’agrégat multiculturel, une nation autochtone dans la nation mondialisée, une société enracinée dans la société ouverte, bref un État dans l’État, avec ses structures, ses dirigeants élus, ses représentants politiques et son objectif de Reconquista. Rien d’impossible dans tout cela (voyez les Kanaks en Nouvelle-Calédonie), rien de difficile non plus, dès lors que nous aurons admis que nous sommes faibles de n’avoir pas compris que nous étions forts.
Dans les mois qui viennent, les autochtones de France vont comprendre qu’il n’y a plus d’autre choix que la soumission ou la sécession et plus d’autre solution pour notre peuple que le Grand Rassemblement. Il appartient aux personnalités connues et reconnues de la mouvance réfractaire de donner le signal d’une nouvelle cohésion, au nom de notre peuple et de son droit à l’existence.
Car le temps des espoirs électoraux insensés est maintenant terminé : voici venu celui des bâtisseurs de peuples !
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